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Genre : Fantastique
Année : 2016
Réalisateur : James Bobin
Acteurs : Mia Wasikowska, Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Sacha Baron Cohen, Anne Hathaway
Compositeur : Danny Elfman
Éditeur : Walt Disney France
Format image : 1.85
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 7.1, Français DTS-HD HR 5.1
Alice a bien grandi, et est devenue capitaine de navire marchand, bourlinguant sur toutes les mers du monde. Elle revient à Londres pour mettre en ordre les affaires familiales quand son passé aventureux dans le monde magique du Pays des Merveilles refait surface par hasard (ou pas ?), lui donnant l'occasion d'essayer de sauver son meilleur ami, le chapelier fou, qui cherche à retrouver sa famille disparue. Alice se lance à travers une course contre le temps en essayant de contrôler la Chronosphère qui lui permettra de voyager dans le temps et de changer le cour des événements...
Cette suite de Alice au Pays des Merveilles de Tim Burton qui ne me paraissait pas indispensable avant que je l'achète, m'a finalement enthousiasmé. Un très beau film vous attend avec des personnages attachants, une histoire assez magique et belle, des décors féeriques et fabuleux, d'excellents acteurs au service de l'histoire. Franchement, un film d'une grande qualité qui transparaît à l'écran par ses images toutes plus belles les unes que les autres. Les effets spéciaux sont fantastiques mais n'entachent en rien l'histoire. J'ai trouvé Mia Wasikowska touchante et excellente dans son rôle d'Alice. Du très beau cinéma. Je trouve même cet opus supérieur à l'Alice au Pays des Merveilles de Tim Burton, ce qui n'est pas un mince exploit.
(Test réalisé sur un écran 2160p)
Que c'est beau. Une définition remarquable, des couleurs féeriques et une profondeur de champs sidérante. L'une des plus belles images que j'ai vu ces derniers temps. Une immersion totale dans ce format 1.85.
(Test effectué en VF 5.1 DTS-HD High Resolution Audio)
Grosse activité durant tout le film, avec des va-et-vient permanents sur toutes les enceintes.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony UPB-X800
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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Titre original : The LEGO Ninjago Movie
Nationalité : Américain
Genre : Animation, Aventure, Action, Fantastique, Comédie
Année : 2017
Durée : 101 min
Réalisateurs : Charlie Bean, Paul Fisher, Bob Logan
Acteur : Jackie Chan
Doubleurs : Dave Franco, Jackie Chan, Justin Theroux, Abbi Jacobson, Michael Peña (VO)
Provenance : États-Unis
Éditeur : Warner Bros.
Date de sortie : 19 décembre 2017
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 2.39 - 2K DI
Luminance HDR : De 0.005 à 4000 nits
Bande-son : Anglais Dolby Atmos (Dolby TrueHD 7.1), Anglais DTS-HD MA 5.1, Français (VFQ) Dolby Digital 5.1, Anglais Audiodescription
Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants
Pour défendre la ville de Ninjago City, Lloyd, alias le Ninja Vert, et ses amis maîtres-bâtisseurs Lego et combattants infiltrés se mobilisent. Avec à leur tête le maître kung-fu Wu, aussi sage que blagueur, ils doivent affronter l’abominable Garmadon, qui se trouve aussi être le père de Lloyd ! Mais il leur faudra d’abord surmonter leur ego et apprendre à unir leurs forces pour se révéler de redoutables guerriers. C’est à ce seul prix que notre bande de ninjas modernes, redoutables et insoumis, pourront remporter la bataille...
Si l'inventivité des précédents volets s'est perdue en chemin, ce film d'animation pour grands gamins qui mêle action débridé et humour irrévérencieux, est un divertissement ludique et totalement hystérique à la charte graphique à nulle autre pareille et aux citations bien senties.
Une présentation UHD incroyable qui délivre des images fabuleusement belles. Et si le Blu-ray est déjà une référence dans le domaine, cet Ultra HD Blu-ray s'impose tout autant comme un top démo. Les détails sont d'une complexité hors-norme et font un bond en avant (les éraflures et autres saletés présentent sur les figurines sont difficilement discernables en HD), la profondeur de champ est plus impressionnante (le détachement en quasi-3D des bâtiments en arrière-plan), les couleurs sont toujours pleines de vie mais gagnent en richesse (les personnages jaunes, le feuillage vert, la lave rouge), les contrastes sont largement plus dynamiques avec des éclairages plus vifs (les néons de l'établissement scolaire, les lanternes du dojo) et des noirs plus profonds, les reflets sont plus brillants (les rayons du soleil sur l'arme ultime) et il n'y a aucune trace de compression.
Une piste Atmos de folie où il y a tellement d'informations sonores dans chaque séquence qu'il paraît difficile de tout « enregistrer ». Les dialogues sont clairs, les ambiances permanentes (le chaos à Ninjago City), les effets robustes (qu'ils soient physiques et/ou pyrotechniques), le score entraînant et les basses en forte quantité. Le tout est parfaitement spatialisé avec une scène frontale étendue, une surface arrière généreuse et une zone aérienne bien exploitée (la réverbération dans certaines pièces, le passage de nombreux véhicules volants, les éjections du repaire de Garmadon, etc.). Quant à la VF, si elle se donne sans compter, elle ne joue vraiment pas dans la même cour (moins d'ampleur, de précision et de bruitages).
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Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C6V Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteur
le loup celeste
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Acteurs : Sigourney Weaver, Tom Skerritt, Harry Dean Stanton, Veronica Cartwright, John Hurt, Ian Holm, Yaphet Kotto
Réalisateur : Ridley Scott
Durée : 117 minutes
Public : 12 ans et plus
Date de sortie : 31/10/2010
Format image : 2.35:1
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS 5.1
Le Nostromo, vaisseau commercial, est réveillé de son sommeil par un étrange signal provenant d'une planète inconnue. Son équipage se doit alors de vérifier l'existence de vie, et trouve un étrange vaisseau, source du signal. L'officier Kane est alors attaqué par une forme de vie inconnue. De retour sur le Nostromo, le médecin essaye d'enlever en vain la créature accrochée sur le visage de Kane, jusqu'au jour où celle-ci se décroche d'elle même...
Ridley Scott nous a livré avec son film, le monstre le plus terrifiant que le cinéma est connu à l'époque. Sachant que son film est sortie en 1979, la version proposée nous le fait découvrir sous un autre angle et encore plus l'apprécier. Le climat angoissant et prenant ne nous quitte pas du long-métrage, et on découvre par celui-ci une excellente actrice qui deviendra une très grande actrice : Sigourney Weaver. Blu-ray à posséder pour tout ceux qui adore ce film.
Le transfert du Blu-ray bénéficie d'une restauration de haut vol proposant une image de toute beauté. La netteté et le piqué sont indéniables, la définition est impressionnante, le contraste est magistral dégageant cette atmosphère pesante liée au film, les détails sont précis, la colorimétrie monochrome très bien gérée et la profondeur de champ exemplaire. Du très beau travail supervisé par Ridley Scott.
La VF est dotée d'une piste en simple DTS qui est supérieure à la version Dolby Digital du DVD mais qui manque quand même de spatialisation. Le travail a été fait surtout sur la partie frontale d'où ressorte avec intelligibilité les dialogues, et sur le canal de basse plus prononcé. Les effets surrounds se font entendre mais à moindre mesure.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE55D8000 Source : Panasonic DMP-BDT310
Amplification : Onkyo TX-RZ800 Enceintes : DALI Zensor Vokal, Zensor 7, Zensor 1; Energy S-10.3 (5.1)
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Rédacteur
neo4
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Genre : Science-fiction
Année : 2017
Réalisateur : Denis Villeneuve
Acteurs : Ryan Gosling, Harrison Ford, Ana de Armas, Robin Wright, Jared Leto
Compositeur : Hans Zimmer
Éditeur : Sony Pictures
Format image : 2.40 Cinémascope
Bande-son : Anglais Dolby Atmos (Dolby TrueHD 7.1), Français DTS-HD MA 5.1
En 2049, trente années après la révolte des réplicants qui se sont retournés contre leurs créateurs, les humains, des unités de Blade Runner sont toujours actives pour éliminer les réplicants qui ne respecteraient pas leur rôle qui est de servir les humains dans toutes leurs tâches les plus dures, aussi bien sur Terre que dans les colonies de l'espace. Un officier de l'unité Blade Runner, K, réplicant lui-même mais sous contrôle, est chargé par les autorités de traquer un enfant qui serait né de l'union interdite entre une réplicante et un officier Blade Runner, Deckard. Tout en cherchant à retrouver Deckard, il découvrira par lui-même une certaine quête de sens de sa propre existence, devra combattre des forces destructrices aussi bien pour les humains que les réplicants, tout en donnant espoir à une humanité en perdition et à des réplicants qui cherchent à trouver leur place sur Terre et dans l'Univers...
À l'époque où est sorti le Blade Runner originel de Ridley Scott (en 1982), adaptation du livre de Philip K. Dick Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? jugé inadaptable (je n'ai jamais lu le livre), ce fut un choc pour moi lorsque je l'ai vu au cinéma en salle à cette époque. Ce film de science-fiction m'avait impressionné, laissé bouche-bée et marqué la rétine (non, je ne suis pas un réplicant, lol) par son côté avant-gardiste, sa narration étonnante pour un film de SF et des images faramineuses pour l'époque, ses personnages charismatiques et son ambiance crépusculaire étouffante. Étonnamment, Blade Runner fut un relatif échec commercial dans le monde, et surtout aux États-Unis (moins en France où il bénéficie d'un véritable culte), pour devenir 36 ans plus tard le film culte tel qu'il est reconnu maintenant, et à juste titre. Donc, il est vrai qu'avoir appris qu'une suite à ce film culte allait sortir fut une surprise, car franchement je pensais que Blade Runner se suffisait à lui-même, sans penser qu'une suite était possible. Connaissant le réalisateur Denis Villeneuve pour son sens de la perfection, son indéniable sens du cinéma, et son imprégnation de tous les films cultes sortis depuis des décennies tout en apportant sa patte personnelle dans un cinéma presque tripal, je me suis dit que pourquoi pas donner une suite, et en savoir un peu plus sur l'univers de Blade Runner, qui restait finalement assez évasif et mystérieux dans le film de Ridley Scott. Donc, cette suite, située 30 ans après les événements datés en 2019, nous embarque dans un monde fantasmagorique, où l'avenir est pris entre des visions cauchemardesques d'une humanité plongée dans les ténèbres de sa propre auto-destruction. Entre des mondes virtuels, une intelligence artificielle censée apaiser ce monde étouffant, des mondes très organiques et sensuels aussi (les corps et la chair humaine sont très présents tout au long du film dans toute leur crudité) où l'humanité se réplique pour mieux s'auto-détruire, à la recherche d'une quête de sens de qui on est et d'où l'on vient irrigue ce film de bout en bout. Alors, je dirai avec un grand oui que Denis Villeneuve a réussi à respecter l'esprit de Blade Runner, tout en lui insufflant une vision fulgurante d'un avenir incertain. Les nombreux personnages charismatiques qui traversent ce film à la fois emblématique de cet univers futuriste, donnent à la fois un côté très humain et inquiétant. Le casting masculin et féminin m'a paru excellent durant tout le film, d'un Harrison Ford fatigué mais très humain, un Ryan Gosling à la fois froid mais en quête de sens sur sa propre existence, un Jared Leto aussi charismatique que très inquiétant et impitoyable en fossoyeur de l'humanité, et une magnifique Ana de Armas (que je découvre) qui apporte un peu de douceur dans ce monde de violence et de désespoir. La fin du film, presque aussi brutale que dans le Blade Runner originel, ouvre-t-elle une nouvelle porte vers une ultime suite qui clôturerait cette vision d'un avenir qui au niveau temporel est plus proche de nos réalités actuelles (l'avenir de la Terre et son environnement chaque jour un peu plus attaqué) ? Je me suis posé la question dès la fin du film. Et pourquoi pas finalement. Les 2 h 45 de film en tout cas ne m'ont pas paru trop longues, même si le tempo un peu lent et contemplatif typique des films de Denis Villeneuve est présent.
(Test réalisé sur un écran 2160p non compatible HDR)
Whaou ! Quelle beauté ce film. Des images à s'en décrocher la mâchoire, même si le côté sombre est omniprésent. Entre des tons froids absolument glaçants sur des villes tentaculaires ou des lieux ravagés par l'activité humaine, des tons orangés dans un désert filmé de façon sublime, des couleurs saturées du plus haut niveau, on est subjugué par la précision de l'image, avec une profondeur de champ fantastique. Je ne donne pas souvent la note de 10 à un film UHD, mais là, je ne vois rien à redire. C'est tout simplement beau.
(Test effectué en VO 5.1 Dolby TrueHD sous-titrée français)
À l'instar de l'image, j'ai pris une sacrée claque avec une bande-son monstrueuse, colossale de puissance. Entre une musique sublime qui envoie sur tous les canaux, des impacts dans les graves dévastateurs (mes murs et mon sol en tremblent encore), des dialogues au top de l'intelligibilité, des effets multicanaux fulgurants, je ne peux que donner la note de 10/10 pour la deuxième fois (après Transformers 5) pour une piste multicanale. Une jouissance auditive absolue. La musique de Hans Zimmer respecte à la lettre l'esprit de la partition de Vangelis qui irriguait Blade Runner. Et c'est magnifique.
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Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony UPB-X800
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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Titre original : Kingsman : The Secret Service
Nationalité : Britannique, Américain
Genre : Espionnage, Action, Comédie
Année : 2014
Durée : 129 min
Réalisateur : Matthew Vaughn
Acteurs : Taron Egerton, Colin Firth, Samuel L. Jackson, Mark Strong, Sofia Boutella, Sophie Cookson, Michael Caine
Provenance : France
Éditeur : 20th Century Fox
Date de sortie : 29 mars 2016
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 2.39 - 2K DI
Luminance HDR : De 0 à 1100 nits
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 7.1, Français DTS 5.1, Anglais Audiodescription
Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants
La vie d’Eggsy, jeune délinquant insolent, bascule le jour où Harry Hart, espion au flegme britannique, lui propose d’intégrer au péril de sa vie le programme de recrutement de l’agence de renseignements ultraconfidentielle KINGSMAN. Ensemble, parviendront-ils à contrer le complot machiavélique orchestré par Richmond Valentine, milliardaire excentrique et génie de la technologie ?
Avis du loup celeste
Le duo Matthew Vaughn / Mark Millar, déjà responsable de l'immense surprise qu'était Kick-Ass, nous propose avec ce Kingsman : Services secrets un divertissement ultra-jubilatoire tout aussi distingué que politiquement incorrect, qui s'amuse à pasticher les films d'espionnage old-school avec ses agents secrets flegmatiques, son méchant mégalomane, ses gadgets à gogo et ses cascades improbables. La mise en scène est proprement galvanisante (les plans inventifs s’enchaînent les uns derrière les autres), le rythme est délicieusement turbulent, la belle brochette d'acteurs est simplement impeccable et les scènes d'action, à la violence esthétisante, sont complètement démentes (la série de plans-séquences à l'intérieur de l'église fera date). Fabuleusement jouissif !
Avis de WolfWife
Moderne, drôle et spectaculaire, Kingsman : Services secrets est un film d'espionnage so british dopé à l'excentricité.
Si la compression invisible, la définition très pointue, le piqué soigneusement ciselé, les couleurs attrayantes parfaitement saturées et les contrastes raffinés du Blu-ray perdurent ici, ce transfert UHD va encore plus loin dans tous les domaines. De nombreux détails font leurs apparitions (scrutez les arrière-plans), les textures sont bien plus fines (la façade du pub), la palette colorimétrique est assurément plus riche (les abords boisés du domaine) avec des tons plus vifs (les tenues bariolées de Richmond Valentine), les contrastes sont plus marqués et les sources lumineuses clairement plus flatteuses (les éclairages du bunker). C'est quand même la classe mais... il y a un mais ! En effet, les CGI sont maintenant trop visibles (la scène de l'ascenseur transpire le fond vert) et les plans/scènes à la résolution moindre (comme celle de l'église) dénotent avec le reste.
Du travail d'orfèvre downscalé d'un mixage originalement Dolby Atmos (malheureusement absent d'où la perte de 0,5 point). La VO 7.1 est bien entendue plus dynamique et plus fournie en terme d'effets sonores face à une VF plus feutrée et moins généreuse à l'arrière, même si cette dernière possède également de très nombreux arguments. Que vous optiez pour l'une ou l'autre l'immersion sera redoutable grâce à une spatialisation léchée, les dialogues resteront clairement restitués, la scène avant continuera d'être bien ouverte, les surrounds présenteront une grande activité, la musique entraînante subsistera et les basses affoleront régulièrement votre matériel acoustique. C'est de la folie !
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Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C6V Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteurs
le loup celeste & WolfWife