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Titre original : The Post
Nationalité : Américain
Genre : Thriller politique
Année : 2017
Durée : 116 min
Réalisateur : Steven Spielberg
Acteurs : Meryl Streep, Tom Hanks, Sarah Paulson, Bob Odenkirk, Bruce Greenwood
Compositeur : John Williams
Provenance : France
Éditeur : Universal Pictures
Date de sortie : 29 mai 2018
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 1.85
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 7.1, Français DTS-HD HR 7.1
Sous-titres : Anglais, Français
Pendant la période de la guerre du Vietnam, la directrice du Washington Post et son rédacteur en chef, et ce malgré leur fort caractère parfois opposé, décident de mettre en commun leurs forces pour dénoncer un scandale d’état qui pourrait bien remettre en question l’engagement même des États-Unis dans cette guerre meurtrière. Leur dilemme est à la fois de dénoncer les manipulations exercées par le pouvoir pendant des décennies, sauver le Washington Post de la faillite en révélant ces faits tout en protégeant tous ceux qui continuent à se battre là-bas. À la croisée de leur destin personnel et de leur carrière professionnelle, les enjeux sont colossaux, et il va falloir s’accrocher pour combattre un pouvoir qui ne l’entend pas de cette oreille...
Steven Spielberg est capable de passer du blockbuster le plus intégral (cf. Ready Player One) où les plus gros moyens sont mis en œuvre, au film plus intimiste mais non moins exigeant dans sa mise scène, où son indéniable sens de la narration concis, précis, très bien documenté permet d’aller au fond des choses dans le thème de ses films. Pentagon Papers nous propose donc de découvrir les mensonges d’état qui parfois guident le fonctionnement de l’État américain au nom de l’intérêt supérieur de la Nation, intérêt d’ailleurs parfois et souvent bien flou sur l’implication des américains dans toutes les affaires du monde. En montrant en somme les "premiers lanceurs d’alerte" prêts à se battre, voire à se sacrifier au nom d’une certaine idée de la liberté de penser et d’informer les citoyens sur la marche du monde, ce film nous montre comment un gouvernement quel qu’il soit, au nom de ses intérêts supérieurs, ne peut pas aller trop loin dans le mensonge, la dissimulation et la collusion d’intérêts qui parfois peuvent déstabiliser un autre pays qu’il soit ami ou ennemi. En somme, le pouvoir n’est pas la propriété d’un seul homme, mais du peuple qui est le seul garant de ce qui est juste ou pas pour la marche d’un pays. Affirmation un peu vaine et un peu péremptoire je vous l’accorde, et évidemment il ne faut pas être trop naïf, car malheureusement le peuple n’a pas toujours voix de cité pour donner son avis. Mais il est toujours bon, que des gens courageux nous alertent sur les coulisses du pouvoir, les coups-bas et les bassesses pas toujours ragoutantes dont sont friands les dirigeants de tout poil. D’ailleurs, après cette affaire des « Pentagon Papers », le Président Nixon toujours prompt à vouloir museler la presse à cette période, sera rattrapé par le scandale du Watergate qui l’éjectera du pouvoir, affaire retentissante révélée justement par le Washington Post cité dans le film. Avec une direction d’acteurs toujours juste, Spielberg et son casting 3 étoiles nous alertent, et nous font prendre conscience que la liberté est souvent le fruit d’un juste équilibre entre les pouvoirs. Une très belle reconstitution historique et une belle mise en scène avec des acteurs au sommet permet de passer un très bon moment, où réflexion et suspense sont au rendez-vous.
(Test réalisé sur un écran 2160p)
L’image de ce film est très soignée, avec un grain très cinéma très agréable, une superbe profondeur de champ et des couleurs idéalement saturées. La définition n’est pas en reste avec une belle acuité sur les visages.
(Test effectué en VF 5.1 DTS-HD High Resolution Audio)
Beaucoup d’impact au début du film, guerre du Vietnam oblige, après, nous sommes dans des ambiances plus feutrées, mais néanmoins très bien rendues. Dialogues parfaitement clairs.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony BDP-S790
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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Nationalité : Américain
Genre : Fantastique
Année : 1985
Durée : 117 min
Réalisateur : Ron Howard
Acteurs : Don Ameche, Wilford Brimley, Hume Cronyn, Brian Dennehy, Jack Gilford, Steve Guttenberg, Maureen Stapelton, Jessica Tandy, Tahnee Welch
Compositeur : James Horner
Provenance : France
Éditeur : Carlotta Films
Date de sortie : 08 août 2018
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 1.85
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1 (et 2.0), Français DTS-HD MA 2.0
Sous-titres : Français
Des pensionnaires et amis d’une maison de retraite en Floride, découvrent dans une villa voisine abandonnée où ils ont l’habitude d’aller se baigner clandestinement, qu'elle est en fait louée par d’énigmatiques locataires qui déposent d’étranges cocons dans la piscine. Continuant à se baigner dans la piscine sans leurs permissions, ils se découvrent une seconde jeunesse inespérée. Serait-ce l’effet de ces cocons mystérieux qui leur donne ce coup de fouet du destin ? Ils ne sont pas au bout de leur surprise lorsque la vérité incroyable leur sera révélée...
Si comme moi, vous êtes un vrai nostalgique des années 80, nostalgique dans le sens où c’est toute votre jeunesse qui vous remonte à l’esprit lorsque l’on évoque cette époque, alors vous serez aux anges de redécouvrir ce superbe film un brin sous-estimé, mais tellement réjouissant dans son approche, que c’est toujours un plaisir de le revoir. Les années 80 ont tellement ancré mon amour du cinéma pour toujours, qu’énumérer le nombre de films qui m’ont marqué dans ces années-là est bien sûr impossible. Entre la saga Star Wars, la saga Indiana Jones, Blade Runner, les Retour vers le futur, E.T., Terminator, les SOS Fantômes, Il était une fois en Amérique, Amadeus, Les Goonies, Le nom de la rose et j’en passe et des meilleurs, du chef-d’œuvre intégral aux films les plus cultes, oui c’est impossible de tous les citer et je m’en excuse. Cocoon au premier abord, pourrait passer pour un gentil film fantastique sans prétention. C’est pourtant l’un des meilleurs films de Ron Howard, où entre réflexion pertinente, légère et très bien vue sur le temps qui passe et la vieillesse, réflexion sur le sens des liens familiaux aussi bien du point de vue des humains que des extra-terrestres du film, ce film est un « feel good movie » qui apporte sans violence aucune (ça fait du bien parfois), une vraie plénitude et ce je ne sais quoi qui vous donne le sourire aux lèvres. Extrêmement bien joué par des acteurs qui ont connu leur heure de gloire à Hollywood, et donc en totale adéquation avec leur rôle, on se réjouit de leurs petites aventures, de leurs petits tracas de « vieux », de leurs réflexions sur la vie et la mort. C’est souvent drôle, plein d’humour, triste, délicat et plein d’émotion parfois. Non, il n’y a pas que les blockbusters décervelés dans la vie, et heureusement. Tout le casting d’ailleurs est excellent, du culte Steve Guttenberg de l’époque (Police Academy), en passant par un Brian Dennehy charismatique ou une superbe Tahnee Welch (fille de Raquel Welch) qui a fait fantasmer bien des adolescents à cette époque. Mention spéciale au casting d’« anciens » qui se réjouit d’être là et s’en donne à cœur joie dans leurs délires presque adolescents. Alors, si vous voulez passer un bon moment, enclenchez le convecteur temporel, et Retour vers un cinéma qui vous donnera la pêche, le sourire et un petit pincement au cœur en pensant à ces années-là.
(Test réalisé sur un écran 2160p)
Ce film sort pour la première fois en Blu-ray, et si l’image n’est pas parfaite avec un grain très années 80 bien présent, celui-ci s’en sort honorablement au niveau de la qualité d’image. La définition est ravivée et les couleurs sont idéalement saturées sans en faire trop. Seuls quelques plans sous-marins sont un peu flous.
(Test effectué en VO 5.1 DTS-HD Master Audio sous-titrée français)
Une piste très dynamique qui s’active souvent. Excellente spatialisation, musique de James Horner douce et agréable qui s’égaye sur tous les canaux. Une belle redécouverte en VO.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony UBP-X800
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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Nationalité : Français
Genre : Thriller, Action
Année : 2017
Durée : 108 min
Réalisateur : Coralie Fargeat
Acteurs : Matilda Lutz, Kevin Janssens, Vincent Colombe, Guillaume Bouchède
Compositeur : Rob
Provenance : France
Éditeur : Sony Pictures
Date de sortie : 13 juin 2018
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.35
Bande-son : Français DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Français pour malentendants
Trois riches chefs d’entreprise, mariés et bons pères de famille, se retrouvent dans une zone désertique pour leur partie de chasse annuelle. Un moyen pour eux d’évacuer le stress et d’affirmer leur virilité, armes à la main. Mais cette fois, l’un d’eux est venu avec sa jeune maîtresse, une séduisante nymphette qui, rapidement, attise la convoitise des deux autres. Les choses dérapent. Dans l’enfer du désert, la jeune femme laissée pour morte reprend vie. Et la partie de chasse se transforme en une impitoyable chasse à l’homme...
Avis du loup celeste
Sorte de The Crow « Ni putes ni soumises », ce rape and revenge féministe porté par une sexy girl qui a des couilles, sait prendre son temps pour mieux faire naître la violence et la douleur ensanglantée qui va avec. Une grosse claque !
Avis de WolfWife
Captivant et choquant, Revenge est un super film à la mise en scène « too much » (dans le bon sens du terme), aux personnages détestables (bien interprétés) et aux séquences ultra-gores (un peu trop même). Lorsque une bimbo se transforme en vengeresse, ça remue les tripes !
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image SDR ISF Expert pièce sombre)
Hormis deux plans (le plongeon dans la piscine) où des artefacts de compression apparaissent, il n'y a rien à reprocher à ce transfert HD d'une beauté irréelle. La définition est solide, le piqué ciselé (les détails sont d'une finesse rare), la profondeur de champ incroyable, les couleurs « pop » bien pétantes, les contrastes ultra-travaillés et les noirs denses. Ça en jette !
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 avec post-traitement DTS Neural:X)
Faisant la part belle à un score électro ample et à des basses malaisantes généreuses, ce mixage extrêmement dynamique et habilement immersif (la faune du désert et les effets pyrotechniques s'invitent aux quatre coins de la zone d'écoute) est aussi habité que sa lolita guerrière.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteurs
le loup celeste & WolfWife
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Nationalité : Canadien
Genre : Western
Année : 2016
Durée : 90 min
Réalisateur : Terry Miles
Acteurs : Trace Adkins, Kim Coates, Judd Nelson, Michelle Harrison, Helena Marie, Claude Duhamel
Compositeur : Sam Levin
Provenance : États-Unis
Éditeur : Cinedigm
Date de sortie : 07 août 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 2.39 - 4K DI
Luminance HDR : De 0 à 540 nits
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Allemand pour malentendants
Retiré des « affaires » et devenu un paisible citoyen, un ancien chef d'un gang de détrousseurs de diligences est rattrapé par son passé et retrouvé par un convoyeur de diligence devenu Marshall qu'il a blessé par le passé. À la suite du décès accidentel de sa femme enceinte dans un affrontement avec ce Marshall, notre homme décide de retourner à son ancienne vie de pilleur de diligence...
Trop bavard et économe en action, ce western familier au rythme soporifique, à la mise en scène médiocre et au script déjà-vu, ne plaira qu'aux fans inconditionnels de l'Ouest américain. Et pour les autres, ce n'est pas la prestation correcte de l'ensemble du casting qui suffira à donner un quelconque intérêt à ce produit TV fortement dispensable.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image HDR10 technicolor Expert avec activation du Mappage ton dynamique)
DI 4K oblige, les niveaux de netteté et de détail, excellents de jour comme de nuit, surpassent ceux présentés en HD. La palette colorimétrique, étrangement fade sur le Blu-ray, est ici bien plus luxuriante (les forêts vertes). Les contrastes, même si encore un peu variables en fonction des séquences, sont mieux maîtrisés pour des scènes sombres à la découpe accentuée et plus profondes. Quant aux sources lumineuses, pour faire simple la lumière du jour, les éclairages d'intérieur et les feux de camp, elles sont beaucoup plus éclatantes sans trop en faire.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 avec post-traitement DTS Neural:X)
Trop endormi à l'arrière (quelques ambiances en plein air et des chevaux au galop) et réservé côté puissance (dynamique en retrait et coups de feu peu impactants), ce mixage plus frontal qu'autre chose reste propre et restitue des dialogues toujours clairs.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteur
le loup celeste
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Nationalité : Américain
Genre : Science-fiction, Thriller
Année : 2018
Durée : 93 min
Réalisateur : Matthew Charles Santoro
Acteurs : Ron Eldard, Colm Feore, Jordan Hinson, Austin Stowell
Compositeur : Kevin Riepl
Provenance : États-Unis
Éditeur : Magnolia Pictures
Date de sortie : 14 août 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - Dolby Vision / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 12 bit - Encodage HEVC - Format 2.39 - 2K DI
Luminance HDR : Adaptée aux caractéristiques techniques spécifiques du dispositif d'affichage utilisé
Bande-son : Anglais Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1)
Sous-titres : Anglais, Espagnol
Depuis la mort de sa femme, Joseph Steadman a tout perdu : son emploi, sa maison, ses enfants. Ne reste que la colère qui le ronge et le détruit. Mais quelque part, une mystérieuse organisation le surveille. Sans le savoir, Joseph est porteur d’un génome unique, clef de notre prochain stade d’évolution. Prête à tout pour repousser les limites de la science et sauver notre monde d'une destruction certaine, l’organisation va le contraindre à participer à une expérience en le menaçant de tuer ses filles...
Gavé d'effets spéciaux impressionnants pour un tel budget (500 000 $), ce thriller de SF indépendant qui surfe sur la mode des super-héros dispose d'un concept intéressant qu'il peine malheureusement à tenir jusqu'au bout. Car si la première heure qui prend le temps de poser ses personnages et enjeux tient en haleine, la dernière ligne droite accuse une exécution bordélique avant de se conclure dans la précipitation. Et que dire aussi de la mise en scène pas toujours lisible et des acteurs peu charismatiques, si ce n'est qu'ils n'aident pas à évaluer positivement cette petite production courageuse qui partait pourtant avec les meilleures intentions du monde.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image Dolby Vision Accueil cinéma)
Entre une manipulation intensive en post-production (pour ajouter des informations visuelles, des interférences et des distorsions) et une résolution native limitée à du 1080p, c'est peu de le dire que cette édition 4K Ultra HD ne peut qu'apporter une amélioration marginale (la compression est plus solide) par rapport à son homologue HD. Il n'y a pas plus de détails à apprécier, les couleurs écrasées ne se distinguent en rien de celles du Blu-ray (sauf à la toute fin où l'énergie bleue du « Dr. Manhattan » est un peu plus vive), les images ne paraissent pas mieux découpées (même si les noirs, toujours limités, sont un poil plus profonds) et les sources lumineuses ne brillent qu'à peine plus (les champs magnétiques). Mais malgré ces « reproches », ce transfert UHD / Dolby Vision ne souffre d'aucun défaut véritable et ne peut au final ajouter des éléments qui n'existent pas.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 en mode d'écoute Dolby Atmos)
S'il a bien du mal à mettre en valeur les capacités aériennes du format (si ce n'est lors du crash d'un avion et lors de 2-3 déflagrations) alors que certains éléments du script pouvaient le permettre (la voix dans la tête), ce mixage Atmos bruyant délivre cependant des voix claires, quelques effets directionnels bien sentis et des basses lourdes à souhait. Ce n'est pas subtil (les enceintes du plan horizontal tournent à blinde sans subtilité) mais ça fait le job.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteur
le loup celeste