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Titre original : Peter Rabbit
Nationalité : Américain, Britannique, Australien
Genre : Comédie, Aventure
Année : 2018
Durée : 95 min
Réalisateur : Will Gluck
Acteurs : Domhnall Gleeson, Rose Byrne, Sam Neill, Tom Greaves, Marianne Jean-Baptiste
Doubleurs : James Corden, Margot Robbie, Elisabeth Debicki, Daisy Ridley (VO)
Compositeur : Dominic Lewis
Provenance : France
Éditeur : Sony Pictures
Date de sortie : 08 août 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 2.39 - 2K DI
Bande-son : Anglais Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Français DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Anglais, Français
Dans une campagne anglaise verdoyante et rêvée près de Londres, Pierre Lapin vit avec ses congénères et les différents animaux présents sur place, une vie faite d’insouciance et surtout de convoitises des légumes du jardin de la maison d’à côté d’un certain McGreggor, qui ne supporte pas ces animaux nuisibles pour lui. Jusqu’au jour où le vieil homme meurt brutalement en voulant attraper le dit lapin. C’est alors qu’un héritier inattendu de la maison arrive sans crier gare. Commence alors pour Pierre Lapin et ses compères un petit jeu consistant à faire fuir le nouveau propriétaire coûte que coûte et par tous les moyens...
Dans la même veine que Paddington et Paddington 2, que voilà une comédie réjouissante et pleine de malice qui plaira j’en suis sûr aussi bien aux grands enfants (que je reste, je l’avoue, lol) qu’aux petits enfants. Dans une campagne anglaise rêvée à en vouloir déménager (en fait, ça a été tourné en Australie, lol), le farceur Pierre Lapin et ses compères vont vous faire dérider vos zygomatiques à de nombreuses reprises, avec leur imagination débordante pour prendre d’assaut un jardin plein de légumes. C’est plein d’humour, de bons sentiments, de moments de franches rigolades et empreint d’une certaine légèreté que seul les anglais savent parfois insuffler à leurs films. Un joli moment de détente avec des acteurs, dont un très drôle Domhnall Gleeson en exterminateur maladroit de lapins, et une très séduisante Rose Byrne, qui s’amusent de ces péripéties animalières avec jubilation, le tout couplé à des effets spéciaux magnifiques et très réalistes qui ne peuvent que faire aimer ces petits lapins trop trognons (j’avoue que j’aime bien le lapin à la moutarde aussi, lol).
(Test réalisé sur un écran 2160p non compatible HDR)
Bah, j’ai beau chercher, je ne vois pas comment je peux critiquer cette image super bien définie, aux couleurs acidulées et saturées de très belle manière (ah, ces verts de la campagne à vouloir se jeter dans l’herbe !), et aux effets spéciaux très bien intégrés où on peut distinguer chaque poil de lapin.
(Test effectué en VF 5.1 DTS-HD Master Audio)
Une piste réjouissante et pleine de malice à l’instar des lapins farceurs, des effets multicanaux bien présents quand il le faut, et une musique assez éclectique pour vous réveiller.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony UBP-X800
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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Nationalité : Américain
Genre : Dessin animé
Année : 1992
Durée : 90 min
Réalisateurs : Ron Clements, John Musker
Doubleurs : Robin Williams (Le Génie), Scott Weinger (Aladdin), Jonathan Freeman (Jafar), Gilbert Gottfried (Iago), Linda Larkin (Jasmine) (VO)
Compositeur : Alan Menken
Provenance : France
Éditeur : Walt Disney
Date de sortie : 15 mai 2013
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 1.85
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD HR 5.1
Sous-titres : Anglais, Français
Dans un royaume au pays des mille et une nuits, Aladdin est un jeune garçon menant une vie insouciante de gamin des rues vivant de quelques rapines au jour le jour. Jusqu’au jour où il récupère après quelques péripéties une lampe magique contenant un génie qui peut exaucer tous ses vœux. Pris entre le désir de réaliser ses rêves, sa rencontre avec une princesse mystérieuse et un affrontement avec le vizir du Sultan, un sorcier très puissant qui convoite la lampe magique, sa vie prend des orientations inattendues qui vont changer son destin...
Ce grand classique Disney, s’il a pris quelques rides au niveau des dessins qui paraissent presque naïfs par rapport aux dernières production Disney / Pixar, est pourtant un aimable divertissement assez rythmé et surtout inédit dans un monde imaginaire arabo-musulman pour l’époque. Bien sûr, tout ceci est très formaté pour ne choquer personne, avec son lot de gentils personnages, de méchants comme les affectionne Disney et de gags en cascade pour soutenir le rythme. Bien évidemment, la musique tient une place importante dans ce dessin animé, avec des chansons qui sont devenues célèbres à l’instar de Ce rêve bleu qui vous restera dans les esgourdes comme Libérée, délivrée (oh purée, le con, ça y est, je vais avoir ça en tête pendant une semaine, lol). Mais si vous voyez ce film en VO, c’est surtout pour la performance du regretté Robin Williams qui joue le rôle du génie qu’il faut le voir, avec une prestation déchaînée et ébouriffante, même si mon anglais est un peu rouillé pour en saisir toutes les subtilités.
(Test réalisé sur un écran 2160p)
Une image magnifique, pratiquement sans défaut. Les couleurs saturées et acidulées pètent de santé, la définition est excellente, la fluidité sur les dessins parfaite et la luminosité vous en met plein les mirettes. C’est très beau. À noter que mon antédiluvienne console PS3 âgée de 12 ans s’en est sortie de façon remarquable pour délivrer une image encore au top bonifiée par l’upscalling 4K de mon ampli Yamaha.
(Test effectué en VO 5.1 DTS sous-titrée français)
La piste s’en donne à cœur joie régulièrement, entre les délires du génie, quelques séquences d’effets multicanaux bien sentis, et les voix caverneuses puissantes du méchant ou du Lion gardien du sanctuaire des sables. Une belle puissance, même si je n’ai pas pu profiter du flux audio HD de la VO à cause de ma console PS3 trop ancienne pour envoyer ce type de flux même en bitstream.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony PS3 Fat 40 go
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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Nationalité : Britannique
Genre : Concert pop rock
Année : 2004
Durée : 137 min
Réalisateur : Claude Nobs
Formation : Phil Collins (Vocal, Batterie) et son big band
Compositeur : Phil Collins
Provenance : France
Éditeur : Eagle Vision
Date de sortie : 27 mars 2012
Format vidéo : 1920x1080 / 50i - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 1.78
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1, Anglais Dolby Digital 5.1, Anglais PCM 2.0
Sous-titres : Aucun
Après une tournée marathon initiée à partir de 2003, Phil Collins s’arrête à Montreux en Suisse pour son dernier concert dans le cadre du prestigieux « Montreux Jazz Festival ». Un moment parfait pour égrener les plus grands moments musicaux de sa carrière.
Phil Collins est, je ne vous le cacherai pas, un des artistes qui m’a le plus accompagné depuis que j’écoute de la musique. Je l’aime tout simplement pour sa contribution à la pop rock, et je possède presque toute la discographie de cet immense artiste que j’ai aussi bien apprécié dans sa carrière solo que quand il faisait partie de Genesis (un groupe aussi que j’adore). Dans ce concert plein de vie, un Phil Collins un peu fatigué par sa tournée mondiale (ça se ressent au début du concert), finit par se donner corps et âmes en enchaînant de façon convaincante tous ses plus grands tubes qui ont affolé les charts mondiaux. C’est toujours un plaisir de les réécouter et si vous aimez la musique qui vous reste en mémoire pour longtemps, alors Phil Collins fait partie de ces artistes qu’on ne peut pas oublier. À noter que ce Blu-ray comprend 2 concerts, le présent de 2004 et en bonus un concert de 1996 dans le cadre de ce même « Montreux Jazz Festival ». Un grand moment pour tout fan qui se respecte, et puis quel batteur ce Phil (ce qui lui a d’ailleurs occasionné quelques ennuis de santé, eh oui, c’est physique la batterie).
(Test réalisé sur un écran 2160p)
L’ambiance un peu vaporeuse et bruitée n’entache pas la qualité correcte de cette captation. Ça aurait pu être meilleur, mais quand on aime Phil Collins, on ne compte pas.
(Test effectué en VO 5.1 DTS-HD Master Audio)
Une belle immersion avec la voix si caractéristique de Phil Collins, accompagnée d’un big band puissant avec de très belles voix. Présence de la foule sur tous les canaux agréable.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Yamaha BDP-S1067
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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Nationalité : Américain, Allemand
Genre : Action
Année : 2004
Durée : 123 min
Réalisateur : Jonathan Hensleigh
Acteurs : Thomas Jane, John Travolta, Rebecca Romijn, Will Patton, Eddie Jemison, Ben Foster
Compositeur : Carlo Siliotto
Provenance : États-Unis
Éditeur : Lionsgate Films
Date de sortie : 25 septembre 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - Dolby Vision / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 12 bit - Encodage HEVC - Format 2.35 - 4K DI
Luminance HDR : Adaptée aux caractéristiques techniques spécifiques du dispositif d'affichage utilisé
Bande-son : Anglais Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Français (VFQ) Dolby Digital 5.1
Sous-titres : Anglais, Anglais pour malentendants
Ancien membre de la Delta Force, puis agent spécial au FBI, Frank Castle s’apprête à se retirer pour mener une existence paisible auprès de sa femme et de son jeune fils. Lors de son ultime mission, les choses tournent mal et le fils de Howard Saint, puissant businessman et magnat de la pègre, est tué. Ivre de vengeance, Saint organise le massacre de Frank et de toute sa famille. Mais ce dernier survit. Désormais, il n’a plus qu’un but : faire payer le coupable à hauteur de son crime...
Pas mauvais mais ne transcendant en rien son sujet (loin du matériau de base d'ailleurs), The Punisher est un vigilante movie à l'ancienne (les cascades sont réelles et il n'y a pas de CGI) où l'action se déchaîne à intervalle régulier. Et si de sympathiques trouvailles (l'assassin chantant ou encore l'utilisation inhabituelle d'une glace) viennent contrebalancer l'absence d'une vraie violence graphique (c'est assez inoffensif en l'état), cette croisade pas si sanglante manque clairement d'ampleur. Cependant, elle reste suffisamment brutale et divertissante pour que l'on ne s'ennuie pas en compagnie de ses deux têtes d'affiche.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image Dolby Vision Accueil cinéma)
Plus net et délivrant des détails beaucoup plus raffinés (cf. la précision accrue des arrière-plans) malgré la noirceur ambiante, ce transfert UHD se démarque aussi de son homologue HD par l'apport du combo HDR/WCG. La palette colorimétrique est plus riche et saturée (la Corvette jaune, le sang rouge, les teintes bleues), les contrastes sont plus travaillés (la tridimensionnalité des plans est plus marquée), les noirs sont plus nuancés mais tout aussi profonds (les scènes sombres sont plus lisibles), et les sources lumineuses paraissent prendre vie (la lumière du jour, les éclairages des appartements miteux, les reflets sur la Pontiac GTO). L'amélioration est donc notable mais ce n'est pas pour autant un disque de démonstration, la faute à la présence de quelques fourmillements et rares doubles contours (de l'edge enhancement si vous préférez). De plus, négatif 35mm oblige, les images présentent un grain bien présent et parfois même intrusif (les ciels à Porto Rico). Ce n'est pas un défaut puisqu'il s'agit d'une volonté artistique visant à reproduire l'ambiance poisseuse de l’œuvre, mais il est important de le signaler pour ne pas s'attendre à un rendu propre et lisse.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 en mode d'écoute Dolby Atmos pour la VO et avec post-traitement Dolby Surround pour la VF)
Remastérisée en Atmos, la VO emmène le mixage dans des (hautes) sphères qui lui était encore inconnues. À-côté, la piste DTS-ES 6.1 du Blu-ray et la présente VF Dolby Digital 5.1 sont d'une platitude effarante (alors qu'elles envoient et ne manquent pas de vie). Les voix sont non seulement plus claires, mais les impacts des effets pyrotechniques sont autrement plus physiques (le canal LFE est puissant) et la présence multicanale bien plus précise (le tracé des flèches) et enveloppante (l'agitation au club). Offrant donc une immersion de tous les instants, elle ouvre d'autant plus l'espace en usant d'une scène aérienne (l'écho des pièces, le souffle des explosion, etc.) qui est loin de faire de la figuration.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteur
le loup celeste
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J'aime : Système Plug and Play, nombreux réglages, facilement pilotable depuis un Smartphone et plus performant que l'Ambilight.
J'aime moins : Tuner TNT et applications internes de la TV non pris en charge, adhésif peu collant et de p'tis bugs de « jeunesse ».
• Taille Classic : pour les TV de 32" à 45" (81cm à 114cm)
• Taille Mega : pour les TV de 45" à 65" (114cm à 165cm)
• Taille Xtreme : pour les TV de 65" à 80" (165cm à 203cm)
• Flex / DIY : pour les diffuseurs au-delà de 80" (203cm et plus)
• Connexion WiFi
• 3 entrées HDMI (2.0 avec norme anticopie HDCP 2.2 et compatibilité HDR)
• Prise jack audio
• Prix indicatif : Entre 249.99 $USD et 289.99 $USD (en fonction de la taille)
• Site du fabricant
Présentation
Si vous ne connaissez pas l'Ambilight, solution mise au point par Philips et disponible sur les TV de la marque, c'est un système qui projette en temps réel à l'aide de LED intelligentes des couleurs sur les murs et dans la pièce pour que l'écran déborde du cadre et semble plus grand. En fait, l'immersion dans le programme visionné n'en est que meilleure et les contrastes renforcés. Mais voilà, une fois qu'on y a goûté, difficile de s'en passer. Ayant une Philips 55POS9002 dans la chambre à coucher, l'effet me manquait dans le salon avec ma LG OLED55C8. Après plusieurs mois de recherches pour trouver une solution équivalente, j'ai jeté mon dévolu sur le système DreamScreen dans sa déclinaison 4K. Placé à l’arrière et autour de votre écran, ce kit diffuse un halo de lumière reproduisant les couleurs affichées à l’écran. La promesse ? Avoir accès à l'Ambilight quel que soit le diffuseur vidéo en sa possession !
DreamScreen a été développé par le couple américain Rakesh et Kate Reddy alors qu’ils cherchaient à révolutionner les télévisions grâce à l’éclairage intelligent LED. Les LED intégrées dans leurs dispositifs ont été programmés pour réagir avec la couleur des pixels des écrans jusqu'à 60 images par secondes. Ce qui crée une dimension immersive au home-cinéma, c'est une prouesse due aux nombreuses années d’ingénierie mécanique et électronique de Rakesh ainsi que du background en design interactif et média digital de Kate. Lancés sur Kickstarter en 2017, les DreamScreen HD (et maintenant 4K) suivent le courant de la haute définition (et de l'UHD) et enrichissent les films, jeux vidéo et séries préférées de personnes dans le monde entier avec cette technologie de rétroéclairage réactive.
Déballage et connectique
Le DreamScreen 4K Kit est livré dans un carton reprenant le visuel du procédé. À l'intérieur, les accessoires sont parfaitement entreposés et très bien protégés. Il y a la notice (en anglais mais téléchargeable en français sur le site), le boîtier 4K, les câbles d'alimentation et HDMI, ainsi que le kit de LED (18 Strips pour une TV 55").
Quant aux connectiques placées sur le petit boîtier 4K, on trouve une sortie HDMI (envoi du signal vers la TV), trois entrées HDMI, une prise jack audio, la fiche d'alimentation et deux ports pour les bandeaux LED (l'une étant réservée au DIY).
Modes et réglages
Vous avez le choix entre 3 modes de fonctionnement avec DreamScreen.
- Vidéo : Le rétro-éclairage LED répond aux couleurs de votre téléviseur ou de votre écran. Vos jeux, films et programmes préférés vont donc déborder du cadre.
- Musique : Les lumières LED se mettent à « danser » sur le rythme musical du morceau diffusé. Il est possible de choisir entre quatre visualiseurs audio différents.
- Ambiant : Le rétro-éclairage peut être réglé en fonction de vos goûts (la couleur fixe de votre choix). Il est même possible de profiter de diverses ambiances lumineuses comme “Ocean” ou “Fireside”.
Les possibilités de réglage sont assez importantes. Il est possible de contrôler la luminosité de fond, le taux de fondu des LED et la saturation des canaux RVB (pour ajuster avec la couleur du mur si ce dernier n'est pas blanc), d'améliorer les tonalités RVB (sur trois paliers) pour que les nuances claires soient plus fortes, et d'ajuster l'intensité de chaque zone de contrôle (les quatre côtés de l'écran en fait).
Le boîtier 4K supporte toutes les capacités CEC et est aussi pleinement compatible avec les normes HDR actuelles. Il accepte donc les flux HDR10 et HLG mais aussi, et là est la très bonne surprise, les métadonnées dynamiques Dolby Vision. La société payant depuis peu la licence Dolby.
Mise en œuvre
Très facile à installer et à mettre en œuvre, DreamScreen utilise la technologie de communication WiFi pour communiquer avec votre smartphone et retransmettre en lumière les données relatives aux couleurs par liaison HDMI. Cela limite les problèmes liés à la portée et garantit une synchronisation parfaite de l’éclairage. D’autre part, le contrôle et la sélection des modes de fonctionnement s’effectuent à partir d’une application mobile. C'est d'ailleurs à partir de l’application DreamScreenTV que l'on peut régler à sa convenance le système et passer facilement d’un mode de fonctionnement à un autre.
Concernant la pose du bandeau sur la TV, certainement la partie la plus « délicate » de l'installation, il faut impérativement commencer à positionner les bandes de LED par le coin inférieur gauche de la TV. Ensuite, une fois s'être renseigné dans le manuel pour connaître le nombre de bandes à appliquer par face (variable en fonction de la taille de l'écran), il suffit de positionner chaque bande en prêtant attention d'équilibrer l'espace entre elles pour une diffusion optimale sur le mur. Enfin, il faut connecter les sources sur le boîtier, le positionner derrière la TV puis le connecter à l'une des HDMI du diffuseur. Petite remarque au passage, les adhésifs des bandes de LED sont assez peu collants, il ne faudra donc pas hésiter à ajouter du scotch double face (ou autre) pour s'assurer qu'elles ne se décolleront avec le temps.
Cette tâche accomplie, il faudra simplement connecter le boîtier au réseau WiFi. Il suffit pour se faire de lancer l'application DreamScreenTV et de détecter le réseau à porté DreamScreen pour lancer la connexion avec ce dernier. C'est vraiment simple vous ne trouvez pas ? Ensuite, l'ensemble du système sera pilotable directement par l'application. Plug and Play je vous dit !
Résultat
En un mot, ça claque ! Retranscrivant avec précision (si tant est que vous ayez bien positionné les Strips LED) et réactivité (c'est instantané mais vous pouvez avoir la main dessus pour augmenter la latence) sur le mur derrière la TV les informations transmises par cette dernière, le spectacle est immersif en diable. Comme dit, c'est la même chose que l'Ambilight mais avec plus de fidélité encore et un spectre colorimétrique plus subtil, même s'il est vrai que les tons bleus/verts sont plus dominants et rigoureux que les rouges/oranges qui peuvent manquer de nuances, mais sur le terrain c'est un détail qui se fait vite oublier car ces couleurs restent bien présentes quand-même. N'oubliez pas au passage que vous pouvez opter pour les deux autres modes de fonctionnement pour moduler les ambiances à votre guise.
Il y a cependant quelques bugs (de « jeunesse » ?). En effet, il peut arriver que le système ne fonctionne pas correctement. Par exemple, lorsque la source envoie un signal SDR puis HDR ou HDR puis SDR. Quelques secondes de patience suffisent souvent à qu'il « retrouve ses esprits » et redevienne donc pleinement opérationnel, mais il faut parfois l'éteindre puis le rallumer (DreamScreen). Ça ne prends néanmoins que quelques secondes rassurez-vous. De même, mais là ce n'est pas vraiment de son ressort, il peut y avoir des points blancs, des sautes d'image ou l'apparition d'écran noir si les câbles HDMI n'ont pas un débit suffisant ou si votre ampli est ancien (bien évidemment si le boîtier se trouve à sa sortie). C'est toujours bon à savoir (et à vérifier) avant de se lancer.
Et en passant, ayez bien à l'esprit que pour obtenir le mode de fonctionnement Vidéo, il est impératif que la source soit connectée au boîtier DreamScreen. Il est en effet impossible d'user de cette fonction avec le tuner TNT ou les applications intégrées à la TV. Si vous voulez en profiter, il faudra donc passer par une source externe (comme une Box ou une console de dernière génération). Attention, pour que le rendu soit correct avec les contenus HDR il ne faudra pas omettre d'activer l'option HDR Tone Remapping dans l'application.
Conclusion
L'Ambilight vous fait de l’œil mais vous ne voulez pas changer de TV pour passer chez Philips ? La solution DreamScreen est alors faite pour vous ! Plug and Play et bardée de possibilités de réglage pour plaire au plus grand nombre, elle est aussi plus performante que son modèle. Si le prix n'est pas un obstacle pour vous, n'hésitez donc pas une seule seconde. Commandez, branchez le tout et profitez...------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Rédacteur
le loup celeste