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Par le loup celeste le 22 Septembre 2018 à 18:52
Titre original : I Kill Giants
Nationalité : Américain, Belge, Irlandais
Genre : Drame, Fantastique
Année : 2017
Durée : 106 min
Réalisateur : Anders Walter
Acteurs : Madison Wolfe, Zoe Saldana, Imogen Poots, Sydney Wade, Rory Jackson
Compositeur : Laurent Perez Del Mar
Provenance : France
Éditeur : Lonesome Bear
Date de sortie : 06 juin 2018
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.35
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Français
Adolescente solitaire et différente des autres, Barbara est en conflit permanent avec son entourage. Ses journées au collège sont rythmées par ses allers-retours entre le bureau du proviseur et celui de la psychologue. Les adultes qui veillent ainsi sur elle s’inquiètent de son obsession pour les Géants, ces créatures fantastiques venues d’ailleurs pour semer ici le chaos et envahir le monde. Pour les en empêcher, Barbara décide alors de mener un combat épique, bien qu’armée de son seul marteau légendaire...
Avis du loup celeste
Ce drame psychologique familial qui s'évade du côté de la fantasy pour mieux exprimer le trauma de sa jeune héroïne dysfonctionnelle, est un film bouleversant et d'une grande justesse. Une belle réussite à l'image de Quelques minutes après minuit.
Avis de WolfWife
Inattendu, ce drame fantastique aux personnages attachants et à l'univers psychologique captivant reste cependant déroutant.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image SDR ISF Expert pièce sombre)
À part une poignée de fondus image où de la postérisation apparaît, il n'y a rien à reprocher à cet excellent transfert HD. La définition ne faiblit à aucun moment, le piqué est affûté, la profondeur de champ étonne régulièrement, les couleurs sont éclatantes, les contrastes léchés et les noirs profonds. Pour profiter de la sublime photographie de Rasmus Heise, il faut donc sans hésiter se tourner vers la haute définition.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 avec post-traitement DTS Neural:X pour la VO et la VF)
Que vous optiez pour la VO ou la VF (aux voix plus mises en avant), le spectacle acoustique restera entier. Les dialogues sont clairs, la spatialisation saisissante (elle est d'ailleurs tellement réaliste qu'il est facile de se croire aux côtés de Barbara), les effets/ambiances précis (les vagues, le vent, le bruissement des feuilles), la musique enveloppante et les basses habiles (les pas des géants).------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteurs
le loup celeste & WolfWife
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Par le loup celeste le 20 Septembre 2018 à 15:54
Titre original : Patriot Games
Nationalité : Américain
Genre : Thriller, Action
Année : 1992
Durée : 116 min
Réalisateur : Phillip Noyce
Acteurs : Harrison Ford, Sean Bean, Anne Archer, Patrick Bergin, Polly Walker, Samuel L. Jackson
Compositeur : James Horner
Provenance : États-Unis
Éditeur : Paramount Pictures
Date de sortie : 21 août 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - Dolby Vision / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 12 bit - Encodage HEVC - Format 2.35 - 4K DI
Luminance HDR : Adaptée aux caractéristiques techniques spécifiques du dispositif d'affichage utilisé
Bande-son : Anglais Dolby TrueHD 5.1, Français Dolby Digital 5.1, Anglais Audiodescription
Sous-titres : Anglais, Français, Anglais pour malentendants
Au cours d’un séjour à Londres avec sa femme et sa fille, Ryan est témoin d’un attentat perpétré par des extrémistes irlandais. Il parvient à abattre l’un de ses assaillants et à capturer son frère aîné. Celui-ci, libéré par les siens rapidement, n’a alors plus qu’une idée en tête : liquider Ryan et les siens pour venger son frère...
Deux ans après À la poursuite d'Octobre Rouge, Jack Ryan, l’un des personnages emblématiques du célèbre écrivain Tom Clancy, revient à l'écran sous les traits d'Harrison Ford. Et privilégiant l'action au suspense (si ce n'est lors de l'assaut final) en délaissant quasi-totalement le métier d'agent secret (!), cet opus qui ne manque pas de savoir-faire technique (cf. la mise en scène) se la joue plutôt grosse artillerie. Beaucoup moins original et prenant que son aîné mais plus divertissant.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image Dolby Vision Accueil cinéma)
Même si peu flatteur (l'aspect très filmique du début des 90's), ce transfert UHD HDR améliore tout de même grandement les images présentes sur le Blu-ray. La compression n'est plus perfectible (adieu le fourmillement dans les arrière-plans) et laisse respirer l'épaisse structure granuleuse qui n'est plus figée en fonction des plans (c'est donc uniforme), la netteté est accrue avec une définition plus solide (les informations du fond se révèlent plus) et un piqué plus précis (même si les plans doux le restent), les couleurs sobres et un peu délavées sont mieux nuancées et laissent poindre des primaires plus saturées (le titre rouge ou la photographie bleutée lors des scènes se déroulant à Londres), les contrastes sont moins plats (des blancs nettement plus brillants et des noirs plus riches) sans être très marqués, les sources lumineuses sont un peu plus éclatantes (les reflets sur les bords métalliques, le soleil en Afrique) tout en restant modérées, et les scènes sombres profitent d'une meilleure gradation (c'est la fin qui en profite le plus).
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 avec post-traitement Dolby Surround pour la VO et la VF)
Plus ample que la VF qui donne la fausse impression d'être plus généreuse en sur-mixant les effets/ambiances (la dynamique s'en trouve donc atteinte), la VO qui bénéficie en prime d'un canal de basses plus robuste (les explosions ont plus de poids) reste cependant toujours (trop) cantonnée sur l'avant avec une scène arrière toujours peu sollicitée. Cependant, la partition de James Horner (Aliens meet l’Irlande) s'empare fougueusement de tous les canaux, les dialogues sont diffusés avec clarté et les frontales donnent tout ce qu'elles ont (une belle largeur).------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteur
le loup celeste
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Par RoRo 25 le 17 Septembre 2018 à 18:06
Titre original : Rampage
Nationalité : Américain
Genre : Science-fiction, Action, Catastrophe
Année : 2018
Durée : 108 min
Réalisateur : Brad Peyton
Acteurs : Dwayne Johnson, Naomie Harris, Malin Akerman, Jeffrey Dean Morgan, Jake Lacy
Compositeur : Andrew Lockington
Provenance : France
Éditeur : Warner Bros.
Date de sortie : 12 septembre 2018
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.39
Bande-son : Anglais Dolby Atmos (core Dolby Digital Plus 7.1), Français Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Anglais et Français DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Optoma HD141X Source : Sony BDP-S7200
Amplification : Yamaha MusicCast RX-A860, BC Acoustique EX-502 Enceintes : Dali Zensor 3, Spektor 2; Focal Sib; Klipsch R-110SW (7.2.2)
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Rédacteur
RoRo 25
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Par le loup celeste le 16 Septembre 2018 à 16:43
Nationalité : Américain
Genre : Science-fiction, Aventure, Action
Année : 2018
Durée : 140 min
Réalisateur : Steven Spielberg
Acteurs : Tye Sheridan, Olivia Cooke, Ben Mendelsohn, T. J. Miller, Simon Pegg, Mark Rylance
Compositeur : Alan Silvestri
Provenance : France
Éditeur : Warner Bros.
Date de sortie : 08 août 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - Dolby Vision / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 12 bit - Encodage HEVC - Format 2.39 - 2K DI
Luminance HDR : Adaptée aux caractéristiques techniques spécifiques du dispositif d'affichage utilisé
Bande-son : Anglais et Français Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Anglais et Français DTS-HD MA 5.1, Anglais Audiodescription
Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants
2045. Le monde est au bord du chaos. Les êtres humains se réfugient dans l’OASIS, univers virtuel mis au point par le brillant et excentrique James Halliday. Avant de disparaître, celui-ci a décidé de léguer son immense fortune à quiconque découvrira l’œuf de Pâques numérique qu’il a pris soin de dissimuler dans l’OASIS. L’appât du gain provoque une compétition planétaire. Mais lorsqu’un jeune garçon, Wade Watts, qui n’a pourtant pas le profil d’un héros, décide de participer à la chasse au trésor, il est plongé dans un monde parallèle à la fois mystérieux et inquiétant...
Avis du loup celeste
Un spectacle geek jouissif au possible à la mise en scène virtuose, à l'imaginaire foisonnant, aux références (plus ou moins cachées) multiples, au scénario visionnaire, aux acteurs charismatiques, aux scènes d'action ébouriffantes et aux effets spéciaux novateurs. Ready Player One c'est donc de la science-fiction rétro-moderne réjouissante et ultra-généreuse qui rend un vibrant hommage à la pop culture. Du très (très) grand art !
Avis de WolfWife
Un divertissement contemporain made in Spielberg qui nous plonge dans un univers virtuel au concept attrayant, au visuel riche en couleurs et à l'histoire prenante. Parfait et transcendant pour les geeks nostalgiques, mais surfait et surcoté pour les autres.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image Dolby Vision Accueil cinéma)
Taillées pour l'Ultra HD, c'est peu dire que de vous assurer que les images délivrées lors des séquences à l'intérieur de l'OASIS finiront de convaincre les plus sceptiques quant aux différences existantes avec le Blu-ray. Éteintes et fades à côté, elles sont écrasées par la splendeur toute numérique et colorée de ces nombreux passages sur le 4K Ultra HD, aidées il est vrai par la patine HDR (très présente avec ses lumières, reflets, magies et néons de partout) et l'opulence du WCG (il suffit de voir la robe rouge d'Art3mis pour s'en persuader) qui ont l'état d'esprit de ne pas être gratuitement clinquants, même s'il est vrai que le côté extrême des contrastes est encore accentué. D'une netteté réellement sidérante et arborant un niveau de détails tout simplement prodigieux, elles explosent le piqué du déjà excellent master HD. Et si les scènes se déroulant dans le monde réel ne marquent pas un écart aussi important, la « faute » à un parti pris plus tristounet (c'est gris) et cinématographique (une délicieuse couche granuleuse, des contours plutôt doux et quelques mises au point un peu floues), il y a là aussi de quoi exulter avec des éclairages (souvent diffus) plus éblouissants (la lumière du jour à travers les fenêtres), des textures mieux dessinées (les épaves de voitures), des contrastes plus expressifs et des noirs (généralement abyssaux) plus subtilement nuancés. Pour faire simple, la sublime photographie concoctée par Janusz Kaminski (A.I. Intelligence Artificielle, Minority Report, La Guerre des Mondes, Pentagon Papers et j'en passe) est magnifiée par ce transfert UHD Dolby Vision de référence.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 en mode d'écoute Dolby Atmos pour la VO et la VF)
D'une richesse acoustique proprement hallucinante, ce mixage Atmos (DTS-HD MA 5.1 non testé) qui joue à fond la carte de la bulle sonore est là pour délivrer un mémorable moment de home-cinéma. Précis et immersif (une spatialisation de folie), il diffuse des effets retentissants (cf. la course motorisée) et ambiances enveloppantes (la « vie » virtuel au sein de l'OASIS) sur toutes les enceintes mises à sa contribution. Les canaux surround sont ainsi massivement utilisés (surtout lors de la bataille finale) et la scène aérienne délivre un nombre considérable d'informations (des objets volants, des pièces à glaner, un T-Rex, King Kong, des drones, une alarme, des projectiles divers, Mechagodzilla, etc.). Et puis les dialogues sont clairs, le score d'Alan Silvestri ne cesse de s'envoler avec une ampleur décoiffante et les basses possèdent une assise importante sans pour autant prendre le dessus sur le reste. En VO comme en VF, voilà une bande-son de démonstration.
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Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteurs
le loup celeste & WolfWife
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Par jedi poodou le 16 Septembre 2018 à 11:05
Titre original : Rampage
Nationalité : Américain
Genre : Fantastique, Action
Année : 2018
Durée : 108 min
Réalisateurs : Brad Peyton
Acteurs : Dwayne Johnson, Naomie Harris, Malin Akerman, Jeffrey Dean Morgan, Jake Lacy
Compositeur : Andrew Lockington
Provenance : France
Éditeur : Warner Bros.
Date de sortie : 12 septembre 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - Dolby Vision / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 12 bit - Encodage HEVC - Format 2.39 - 2K DI
Bande-son : Anglais et Français Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Anglais et Français DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Anglais, Français
Une expérience scientifique, basée sur des manipulations génétiques sur les animaux dans une station spatiale en orbite autour de la Terre, tourne à la catastrophe lorsqu'un cobaye ayant subi une mutation aberrante détruit entièrement la station spatiale. Cependant, l’explosion de la station a propulsé des échantillons des expériences qui s’écrasent alors sur Terre, et engendre aussitôt des mutations génétiques monstrueuses sur des animaux ayant été en contact avec ces échantillons. Un singe élevé par un primatologue réputé du nom de Davis, subit une mutation qui engendre catastrophe sur catastrophe. Mais il n’est pas le seul dans ce cas, et seul Davis, une scientifique ayant participé aux recherches et un agent du gouvernement sont en mesure d’arrêter les monstres prêts à détruire tout sur leur passage ainsi que les responsables peu scrupuleux de la multinationale qui ont enclenché le processus de destruction massive...
Vous voulez que je vous fasse des tartines pour décrire ce film, êtes-vous prêt à lire les 50 lignes de textes que je vais vous pondre pour parler de ce chef-d’œuvre ? Allez, je suis magnanime, je vais vous épargner dans ma grande bonté (lol), car malheureusement, je suis au regret de vous dire qu’on n’est pas loin du nanar intégral, malgré la débauche de moyens mis en œuvre. L’histoire en elle-même aurait pu être sympa, mais le réalisateur, le ou les scénaristes et les acteurs, ont tous chaussés leurs gros sabots pour accoucher d’un blockbuster décérébré jusqu’à l’overdose. Dwayne Johnson a beau joué encore les sauveurs du monde dans ce film, il ne le sauve pas du naufrage. D'ailleurs, Dwayne Johnson devient presque un genre cinématographique à lui tout seul à force de se démultiplier dans toutes les grosses productions américaines, à l’instar d’acteurs comme Nicolas Cage (les fameux « Nicolas Cage movies »). Si j’aime bien cet acteur, là il va falloir qu’il arrête de gonfler ses biscotos, parce qu’il va bientôt exploser à force d’overdose à la testostérone et à l’adrénaline. Ah bien sûr, vous serez servis par des scènes d’action maousses, mais à part ça, c’est humour poussif, dialogues limite débiles et destructions à la chaîne qui vous attendent. Seul Jeffrey Dean Morgan en agent du gouvernement décontracté du bulbe, a l’air de s’amuser dans ce film, et c’est bien lui le personnage le plus sympathique. Quant aux effets spéciaux, on alterne le bon (le singe géant albinos) ou le pire avec un loup géant affreux de laideur numérique et un alligator géant qui ressemble à un porc-épic fusionné avec un phacochère. Visuellement ce film est une démo technique, mais pour le reste, vous serez les seuls juges si l’envie vous prenait de regarder ce film. Mon indulgence sur ma note tient compte de la qualité technique.
(Test réalisé sur un écran 2160p non compatible HDR)
L’image est fantastique de précision. La définition est idyllique, les couleurs sont parfaitement saturées et les contrastes sont en béton. Même les scènes sombres sont particulièrement bien gérées. Une démo technique qui ne peut malheureusement pas compenser la laideur parfois embarrassante de certains effets spéciaux.
(Test effectué en VF 5.1 Dolby TrueHD)
Vous voulez du lourd, du massif, du costaud, eh bien vous allez être servis par cette bande-son aussi délicate que les monstres du film qui détruisent tout sur leur passage. Activité multicanale, graves qui envoient, ça n’arrête pas. Dialogues parfaitement clairs malgré la débauche de décibels.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony UBP-X800
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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