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Par jedi poodou le 10 Septembre 2018 à 08:30
Nationalité : Américain
Genre : Fantastique
Année : 1985
Durée : 117 min
Réalisateur : Ron Howard
Acteurs : Don Ameche, Wilford Brimley, Hume Cronyn, Brian Dennehy, Jack Gilford, Steve Guttenberg, Maureen Stapelton, Jessica Tandy, Tahnee Welch
Compositeur : James Horner
Provenance : France
Éditeur : Carlotta Films
Date de sortie : 08 août 2018
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 1.85
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1 (et 2.0), Français DTS-HD MA 2.0
Sous-titres : Français
Des pensionnaires et amis d’une maison de retraite en Floride, découvrent dans une villa voisine abandonnée où ils ont l’habitude d’aller se baigner clandestinement, qu'elle est en fait louée par d’énigmatiques locataires qui déposent d’étranges cocons dans la piscine. Continuant à se baigner dans la piscine sans leurs permissions, ils se découvrent une seconde jeunesse inespérée. Serait-ce l’effet de ces cocons mystérieux qui leur donne ce coup de fouet du destin ? Ils ne sont pas au bout de leur surprise lorsque la vérité incroyable leur sera révélée...
Si comme moi, vous êtes un vrai nostalgique des années 80, nostalgique dans le sens où c’est toute votre jeunesse qui vous remonte à l’esprit lorsque l’on évoque cette époque, alors vous serez aux anges de redécouvrir ce superbe film un brin sous-estimé, mais tellement réjouissant dans son approche, que c’est toujours un plaisir de le revoir. Les années 80 ont tellement ancré mon amour du cinéma pour toujours, qu’énumérer le nombre de films qui m’ont marqué dans ces années-là est bien sûr impossible. Entre la saga Star Wars, la saga Indiana Jones, Blade Runner, les Retour vers le futur, E.T., Terminator, les SOS Fantômes, Il était une fois en Amérique, Amadeus, Les Goonies, Le nom de la rose et j’en passe et des meilleurs, du chef-d’œuvre intégral aux films les plus cultes, oui c’est impossible de tous les citer et je m’en excuse. Cocoon au premier abord, pourrait passer pour un gentil film fantastique sans prétention. C’est pourtant l’un des meilleurs films de Ron Howard, où entre réflexion pertinente, légère et très bien vue sur le temps qui passe et la vieillesse, réflexion sur le sens des liens familiaux aussi bien du point de vue des humains que des extra-terrestres du film, ce film est un « feel good movie » qui apporte sans violence aucune (ça fait du bien parfois), une vraie plénitude et ce je ne sais quoi qui vous donne le sourire aux lèvres. Extrêmement bien joué par des acteurs qui ont connu leur heure de gloire à Hollywood, et donc en totale adéquation avec leur rôle, on se réjouit de leurs petites aventures, de leurs petits tracas de « vieux », de leurs réflexions sur la vie et la mort. C’est souvent drôle, plein d’humour, triste, délicat et plein d’émotion parfois. Non, il n’y a pas que les blockbusters décervelés dans la vie, et heureusement. Tout le casting d’ailleurs est excellent, du culte Steve Guttenberg de l’époque (Police Academy), en passant par un Brian Dennehy charismatique ou une superbe Tahnee Welch (fille de Raquel Welch) qui a fait fantasmer bien des adolescents à cette époque. Mention spéciale au casting d’« anciens » qui se réjouit d’être là et s’en donne à cœur joie dans leurs délires presque adolescents. Alors, si vous voulez passer un bon moment, enclenchez le convecteur temporel, et Retour vers un cinéma qui vous donnera la pêche, le sourire et un petit pincement au cœur en pensant à ces années-là.
(Test réalisé sur un écran 2160p)
Ce film sort pour la première fois en Blu-ray, et si l’image n’est pas parfaite avec un grain très années 80 bien présent, celui-ci s’en sort honorablement au niveau de la qualité d’image. La définition est ravivée et les couleurs sont idéalement saturées sans en faire trop. Seuls quelques plans sous-marins sont un peu flous.
(Test effectué en VO 5.1 DTS-HD Master Audio sous-titrée français)
Une piste très dynamique qui s’active souvent. Excellente spatialisation, musique de James Horner douce et agréable qui s’égaye sur tous les canaux. Une belle redécouverte en VO.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony UBP-X800
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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Par le loup celeste le 8 Septembre 2018 à 09:50
Nationalité : Américain
Genre : Science-fiction, Thriller
Année : 2018
Durée : 93 min
Réalisateur : Matthew Charles Santoro
Acteurs : Ron Eldard, Colm Feore, Jordan Hinson, Austin Stowell
Compositeur : Kevin Riepl
Provenance : États-Unis
Éditeur : Magnolia Pictures
Date de sortie : 14 août 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - Dolby Vision / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 12 bit - Encodage HEVC - Format 2.39 - 2K DI
Luminance HDR : Adaptée aux caractéristiques techniques spécifiques du dispositif d'affichage utilisé
Bande-son : Anglais Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1)
Sous-titres : Anglais, Espagnol
Depuis la mort de sa femme, Joseph Steadman a tout perdu : son emploi, sa maison, ses enfants. Ne reste que la colère qui le ronge et le détruit. Mais quelque part, une mystérieuse organisation le surveille. Sans le savoir, Joseph est porteur d’un génome unique, clef de notre prochain stade d’évolution. Prête à tout pour repousser les limites de la science et sauver notre monde d'une destruction certaine, l’organisation va le contraindre à participer à une expérience en le menaçant de tuer ses filles...
Gavé d'effets spéciaux impressionnants pour un tel budget (500 000 $), ce thriller de SF indépendant qui surfe sur la mode des super-héros dispose d'un concept intéressant qu'il peine malheureusement à tenir jusqu'au bout. Car si la première heure qui prend le temps de poser ses personnages et enjeux tient en haleine, la dernière ligne droite accuse une exécution bordélique avant de se conclure dans la précipitation. Et que dire aussi de la mise en scène pas toujours lisible et des acteurs peu charismatiques, si ce n'est qu'ils n'aident pas à évaluer positivement cette petite production courageuse qui partait pourtant avec les meilleures intentions du monde.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image Dolby Vision Accueil cinéma)
Entre une manipulation intensive en post-production (pour ajouter des informations visuelles, des interférences et des distorsions) et une résolution native limitée à du 1080p, c'est peu de le dire que cette édition 4K Ultra HD ne peut qu'apporter une amélioration marginale (la compression est plus solide) par rapport à son homologue HD. Il n'y a pas plus de détails à apprécier, les couleurs écrasées ne se distinguent en rien de celles du Blu-ray (sauf à la toute fin où l'énergie bleue du « Dr. Manhattan » est un peu plus vive), les images ne paraissent pas mieux découpées (même si les noirs, toujours limités, sont un poil plus profonds) et les sources lumineuses ne brillent qu'à peine plus (les champs magnétiques). Mais malgré ces « reproches », ce transfert UHD / Dolby Vision ne souffre d'aucun défaut véritable et ne peut au final ajouter des éléments qui n'existent pas.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 en mode d'écoute Dolby Atmos)
S'il a bien du mal à mettre en valeur les capacités aériennes du format (si ce n'est lors du crash d'un avion et lors de 2-3 déflagrations) alors que certains éléments du script pouvaient le permettre (la voix dans la tête), ce mixage Atmos bruyant délivre cependant des voix claires, quelques effets directionnels bien sentis et des basses lourdes à souhait. Ce n'est pas subtil (les enceintes du plan horizontal tournent à blinde sans subtilité) mais ça fait le job.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteur
le loup celeste
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Par le loup celeste le 7 Septembre 2018 à 23:31
Nationalité : Américain
Genre : Science-fiction, Action
Année : 2018
Durée : 88 min
Réalisateurs : James Franco, Bruce Thierry Cheung
Acteurs : Suki Waterhouse, Jeffrey Wahlberg, James Franco, Milla Jovovich, Lucy Liu, Snoop Dogg
Compositeur : Toydrum
Provenance : États-Unis (région A)
Éditeur : Lionsgate films
Date de sortie : 10 juillet 2018
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.39
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Anglais, Anglais pour malentendants
Un jeune prince s’aventure dans un désert violent et ravagé pour trouver un remède à la maladie qui touche sa mère. Sur sa route, il va croiser le chemin d'une androïde gardée captive par un seigneur de guerre...
Ce Mad Max du pauvre bien barré qui s'apparente plutôt à un Cyborg des temps modernes, est un film de science-fiction qui a tout du post-nuke rital des années 80. De la pure série B foutraque à souhait où le monde dépeint est « what the fuck », où le scénario tient sur une ligne, où les clichés s'accumulent à la seconde, où le casting est en roues-libres total et où la mise en scène fait ce qu'elle veut en dépit du bon sens. C'est con et foncièrement mauvais mais c'est aussi fun et loin d'être désagréable à suivre. Les fans de ce sous-genre devraient donc y trouver leur compte.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image SDR ISF Expert pièce sombre)
Les noirs incertains, les contrastes délavés, les couleurs changeantes (chaque séquence ayant un filtre différent !) et la luminosité variable d'une photographie au traitement particulier sont néanmoins bien reproduits par ce transfert HD à la définition forte et aux détails globalement nets (ce n'est tout de même pas un blockbuster récent). Mais lors des scènes les plus sombres, la compression est limite et laisse poindre du colour banding ainsi que des arrière-plans bruités.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 avec post-traitement DTS Neural:X)
Une VO HD de qualité qui offre un ensemble dynamique et immersif. La bande-son est bien spatialisée, les effets directionnels se déplacent précisément dans l'espace sonore, les ambiances (discrètes) usent des arrières pour prendre vie, le score électronique est fidèlement retranscrit et les basses (plus précisément le bas du spectre) grondent sévèrement (cf. le rugissement des moteurs).------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteur
le loup celeste
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Par le loup celeste le 7 Septembre 2018 à 12:18
Titre original : 12 Strong
Nationalité : Américain
Genre : Guerre, Drame, Historique
Année : 2018
Durée : 130 min
Réalisateur : Nicolai Fuglsig
Acteurs : Chris Hemsworth, Michael Shannon, Michael Peña, Navid Negahban, Trevante Rhodes
Compositeur : Lorne Balfe
Provenance : Allemagne
Éditeur : Concorde Home Entertainment
Date de sortie : 24 juillet 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 2.39 - 2K DI
Luminance HDR : De 0.005 à 1000 nits
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 7.1, Allemand DTS-HD MA 7.1
Sous-titres : Allemand pour malentendants
Le capitaine Mitch Nelson est le chef de l’unité des Forces Spéciales qui a été choisie pour une périlleuse mission secrète. Son détachement et lui sont envoyés en Afghanistan, en plein conflit armé, pour apporter leur aide aux Afghans dans leur lutte contre les talibans...
Avis du loup celeste
S'il s'ensile un peu par manque de rythme et n'évite pas les clichés du genre (la glorification des valeurs américaines), ce film de guerre réaliste et brutal, tiré d'une histoire vraie longtemps restée secrète, est solidement mis en scène et interprété, de sorte qu'il nous plonge au cœur de l'action sans oublier de mentionner l'humanité de ses guerriers entre deux confrontations armées rondement menées (la charge héroïque finale est mémorable).
Avis de WolfWife
Ce film américano-militaire au patriotisme affirmé manque clairement d'âme et s'enlise parfois dans un récit trop didactique. Et si les enjeux et scènes de guerre sont aussi réalistes qu'efficaces, il est difficile de s'attacher à des personnages aussi superficiels.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image HDR10 technicolor Expert avec activation du Mappage ton dynamique)
Pas beaucoup de changement côté définition, qui persiste à ne rien lâcher (malgré certaines portions du cadre floues dues à l'usage d'optiques anamorphiques), et piqué, qui ne cesse de révéler des détails d'une précision chirurgicale, si ce n'est l'application d'un très léger DNR (absent du master HD) ayant pour but de garder sous contrôle le petit grain de caractère (il n'est de la sorte pas plus visible qu'en 1080p). Mais plus lumineuses et densément contrastés (les scènes sombres y gagnent), les images de ce 4K Ultra HD déploient des couleurs naturelles aux nuances vertes nouvelles (la photographie est moins gratuitement chaude) et des sources lumineuses bien plus intenses (les contre-jours et les explosions). Et autre bonne nouvelle, les traces de compression bien visibles sur le Blu-ray (cf. le colour banding dans le ciel lorsque l'hélicoptère transporte l'unité des Forces Spéciales en direction du théâtre des opérations) ont totalement disparu ici.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 avec post-traitement DTS Neural:X pour la VO)
Dynamique à l'excès et immersif au possible, ce mixage dévastateur délivre des effets hautement spectaculaires (les balles sifflent dans toutes les directions), des basses cataclysmiques (les explosions font trembler les murs), un score épique ample et des dialogues d'une grande clarté.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteurs
le loup celeste & WolfWife
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Par le loup celeste le 5 Septembre 2018 à 14:37
Titre original : Harry Potter and the Prisoner of Azkaban
Nationalité : Américain, Britannique
Genre : Fantastique, Aventure
Année : 2004
Durée : 142 min
Réalisateur : Alfonso Cuarón
Acteurs : Daniel Radcliffe, Rupert Grint, Emma Watson, David Thewlis, Robbie Coltrane, Gary Oldman, Alan Rickman
Compositeur : John Williams
Provenance : France
Éditeur : Warner Bros.
Date de sortie : 29 novembre 2017
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 2.41 - 2K DI
Luminance HDR : De 0.005 à 4000 nits
Bande-son : Anglais DTS:X (core DTS-HD MA 7.1), Français DTS-HD MA 5.1, Anglais Audiodescription
Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants
Alors que l’abominable Tante Marge flotte dans le ciel étoilé, Harry met le cap sur sa troisième année à Poudlard. Après un trajet chaotique à bord du Magicobus, il se retrouve sur Le Chemin de Traverse, où il apprend que Sirius Black, le prisonnier évadé, est à sa recherche. Et c’est ainsi que commence le nouveau trimestre. À Poudlard, Harry et ses amis apprennent l’art délicat du dressage d’un Hippogriffe, comment transformer les Epouvantards à l’aspect changeant en créatures ridicules, et même comment retourner le temps. Les Détraqueurs aux effroyables baisers, planent au-dessus de l’école et menacent Harry, pendant que le serviteur de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom se cache dans les murs du château. Harry va devoir les affronter tous...
Avis du loup celeste
Nettement supérieur aux deux précédents, ce troisième volet à la splendide réalisation gothique et virevoltante que l'on doit au réalisateur mexicain Alfonso Cuarón (le meilleur de la série), développe la dimension psychologique et la profondeur du récit, et évoque avec une belle modernité le passage à l'adolescence. Le film qui a imposé sur la durée la saga cinématographique Harry Potter.
Avis de WolfWife
Plus intimiste dans ses événements, malicieux dans son scénario et gothique dans son style visuel, l'épisode rebelle de la saga Harry Potter voit ses héros continuer leurs aventures magiques.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image HDR10 technicolor Expert avec activation du Mappage ton dynamique)
Très filmiques (belle sensation organique) et douces par nature, les splendides images de cet opus apparaissent ici comme bien différentes de celles délivrées par le Blu-ray. Pas tant pour ce qui concerne les détails, cependant plus subtils en UHD (les nuances texturales des décors) même si manquant toujours légèrement de précision, mais bien à ce qui se rapporte à la luminosité et à la palette colorimétrique. Beaucoup plus sombres et affichant des teintes largement plus désaturées (tout en laissant poindre quelques couleurs plus intenses), les plans sont maintenant beaucoup plus crépusculaires et semblent plus fidèles à la source ou tout du moins à l'esprit de cet épisode. De plus, les contrastes rééquilibrés autorisent une meilleure perception des éléments du cadre, les scènes prenant place dans la pénombre possèdent des noirs plus fermes et les sources lumineuses (notamment la lueur parfois aveuglante des baguettes magiques) font des merveilles.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 en mode d'écoute DTS:X pour la VO et avec post-traitement DTS Neural:X pour la VF)
Moins riches en effets surround que son prédécesseur, ces pistes sonores restent cependant assez tonitruantes, peuplées d'effets/ambiances et servies de graves sûres pour assurer le spectacle. Mais c'est sans hésiter vers la VO DTS:X qu'il va falloir vous tourner pour « redécouvrir » cette 3ème année scolaire. Sertie de nouvelles informations à l'arrière (cf. la salle à manger de Poudlard), d'une scène aérienne inédite (la pluie, le tic-tac d'une horloge, les Détraqueurs, etc.), d'un score plus aéré et de basses plus proéminentes, elle s'impose comme une mise à jour majeure de l'ancien mixage.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
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Rédacteurs
le loup celeste & WolfWife
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