[Blu-ray] Secret d'état
♦ Titre original : "Kill the Messenger" ♦ Nationalité : Américain ♦ Genre : Drame, Thriller ♦ Année : 2014 ♦ Durée : 111 min ♦ Réalisateur : Michael Cuesta ♦ Acteurs : Jeremy Renner, Rosemarie DeWitt, Mary Elizabeth Winstead, Oliver Platt |
Note artistique |
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Qualité vidéo |
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Qualité audio |
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► Le synopsis :
Gary Webb, reporter chevronné, découvre un lien entre les services secrets américains et les cartels d’Amérique centrale. Une vérité incroyable se dessine : les rebelles du Nicaragua travailleraient directement avec la CIA pour introduire de la cocaïne aux Etats-Unis et l’argent résultant de ce trafic servirait à armer les milices des Contras que veulent soutenir les Etats-Unis. Pour faire exploser la vérité, Webb prend tous les risques et se rend au Nicaragua afin de soutirer des informations essentielles au baron de la drogue Norwin Meneses. Il écrit bientôt une série d’articles qui secoue l’Amérique tout entière...
► Le film :
Ce thriller journalistique tiré d'une histoire vraie, qui défend la liberté et le rôle de la presse, tient le spectateur en haleine par sa mise en scène vigoureuse, son sujet coup de poing, sa vision réaliste du journalisme d'investigation, son héros des temps modernes charismatique (interprété par un très intense Jeremy Renner) et ses seconds rôles remarquables. Aussi passionnant que pertinent.
► Le Blu-ray Disc :
Vidéo | Audio | Sous-titres |
1920x1080 / 24p - Encodage AVC Format 2.40 |
DTS-HD Master Audio 5.1 : Anglais, Français (VFF) Audiodescription : Français |
Français Français pour malentendants |
• Image : La définition est presque toujours impeccable (de petites baisses de régime en basse lumière), les détails sont seyants, les couleurs sont flamboyantes, les contrastes comme les noirs sont solides et le léger grain participe activement à la texture typée 80's de la photographie.
• Son : Loin de la démonstration technique, mais là n'est pas le sujet du récit, ces deux pistes sonores qui exploitent les canaux à bon escient contribuent énormément à l'ambiance tendue de l’œuvre. La scène avant a du mordant, les dialogues n'ont pas à souffrir d'un problème de perceptibilité, les ambiances sollicitent ardemment les enceintes surround, la partition pesante (dans le bon sens du terme) de Nathan Johnson est enveloppante et les basses fréquences sont exploitées généreusement.
Région | Éditeur | Date de sortie |
B (France) | Metropolitan Vidéo |
26 mars 2015 |