[Test 4K Ultra HD] Le Labyrinthe : Le remède mortel

Titre original : Maze runner : The Death Cure
Nationalité : Américain
Genre : Science-fiction, Action
Année : 2018
Durée : 144 min
Réalisateur : Wes Ball
Acteurs : Dylan O'Brien, Thomas Brodie-Sangster, Kaya Scodelario, Ki Hong Lee, Will Poulter
Compositeur : John Paesano

Provenance : France
Éditeur : 20th Century Fox
Date de sortie : 11 juin 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 2.39 - 2K DI
Bande-son : Anglais Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Français DTS 5.1
Sous-titres : Anglais, Français



Après avoir échappés à l’organisation W.I.C.K.E.D et à tous les périls qui les guettent dans ce monde post-apocalyptique, Thomas et sa bande de Blocards sont bien décidés à pénétrer le dernier bastion de WICKED, une ville-rempart qui protège les secrets de l’organisation et une caste de privilégiés ayant échappé à la contamination. Thomas veut comprendre pourquoi lui et ses compagnons sont si importants pour l’organisation, et découvrir par là-même le remède qui pourrait mettre un terme à la contamination qui décime l’humanité. Mais le chemin qui mène à cette quête risque d’être semé d’embûches et de pièges mortels...



Après toute une floppée de films façon survivals post-apocalyptiques comme la saga Divergente, la saga Hunger Games, et donc la présente saga Le Labyrinthe, ce présent film devrait mettre un terme à cette prolifération d’adaptation de sagas littéraires pour le moins déprimantes pour l’avenir de l’humanité. Bon, les Américains aiment bien s’auto-détruire dans des films où tout s’effondre dans un chaos indescriptible, c’est leur dada. Toujours est-il que la plupart de ces films ont donné des résultats inégaux, donnant parfois le sentiment d’un côté répétitif peu inspiré. Ce dernier volet du Labyrinthe est un honnête divertissement calibré, qui si côté scénario n’apporte rien de nouveau, donne par contre des séquences d’action bien balancées et assez costaudes, la destruction de la ville-sanctuaire entre autres donne des séquences de guérilla urbaine impressionnantes. En tout cas le feu d’artifice a bénéficié d’un bon budget, et pour une séance home-cinéma on en a pour son argent. Le casting de jeunes pousses hollywoodiennes s’implique avec professionnalisme, même s’il y a parfois un côté convenu dans l’interprétation. Une séance mouvementée qui met un terme (enfin je l’espère), à cette saga. Mais avec Hollywood, les bons filons peuvent toujours renaître de leurs cendres.



(Test réalisé sur un écran 2160p non compatible HDR)
Quasi-parfaite tout au long du film, avec des contrastes en béton, une colorimétrie chaude et incendiaire, une définition de premier plan et une luminosité splendide sur les scènes de jour et les scènes de nuit de la cité-sanctuaire.



(Test effectué en VO 5.1 Dolby TrueHD sous-titrée français)
Une piste hyper-active rarement en mode silence, ça pulse, ça explose, ça envoie du grave à n’en plus finir, une activité non-stop qui participe à cette séance agréable. Une piste VO Dolby TrueHD de toute première catégorie.

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Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony UBP-X800
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur

jedi poodou