• A.I. Intelligence Artificielle

    Par le loup celeste dans Cinéma américain le 22 Juillet 2011 à 18:35

    A. I. - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE A.I. Intelligence Artificielle de Steven Spielberg:

    Dans un futur proche où la fonte des glaces a submergé la majorité des terres habitables, les robots communément appelés les ‘mécas’ font partie de la vie quotidienne des hommes. Les naissances étant sévèrement contingentées, le professeur Hobby souhaite créer un enfant robot capable de développer au contact des humains, un vaste répertoire d’émotions, de désirs et de souvenirs...

    Ce conte de science-fiction d'une grande sensibilité porté par l'interprétation inoubliable de Haley Joel Osment et par des effets visuels stupéfiants que l'on doit à ILM, est une magnifique quête initiatique (à l'image des plus beaux contes de fées) scindée en trois actes (la relation mère-enfant, la grande aventure et le questionnement philosophique), qui s'interroge sur ce qui caractérise l'espèce humaine, à savoir la conscience de soi et la capacité à aimer. Un chef-d'oeuvre qui a marqué et continuera de marquer l'histoire du septième art.

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    Blu-ray Disc Région B Français.
    Éditeur: Warner Bros.

    - Pistes sonores: Anglais DTS-HD Master Audio 6.1; Français (VFF), Allemand, Castillan et Italien Dolby Digital 5.1; Brésilien Dolby Digital 2.0.
    - Sous-titres: Français, Finlandais, Danois, Néerlandais, Suédois, Espagnol, Castillan, Brésilien, Norvégien. Anglais, Italien et Allemand pour malentendants.

    Critique support: BBBBB
    -Image: Un transfert HD très respectueux du matériau d'origine, en effet, la superbe photographie de Janusz Kaminski est reproduite avec une minutie exemplaire (granulosité marquée, couleurs saturées, lumières diffuses qui modifient la définition, contours plutôt doux), les contrastes sont solides (les différents plans sont bien découpés), les noirs sont profonds et la compression est invisible. Le seul défaut vient en fait du master qui n'a pas été totalement dépoussiéré, il reste encore quelques points blancs.
    -Audio: Pas aussi définitives que les images, voilà des pistes sonores assez discrètes à la dynamique insuffisante (il faut augmenter le volume pour bien profiter du spectacle) et aux effets surrounds peu présents (en dehors de la scène de poursuite au début du second acte), mais elles se montrent tout de même détaillées, les dialogues sont clairs et la bouleversante musique signée John Williams est bien mise en valeur. Chose étonnante, si la VO est plus précise, la VF est plus enveloppante.

    « Cold Prey IIISans Identité »