♦ Titre original : "Highlander III : The Sorcerer" ♦ Nationalité : Canadien, Français, Britannique ♦ Genre : Fantastique, Action ♦ Année : 1994 ♦ Durée : 99 min ♦ Réalisateur : Andrew Morahan ♦ Acteurs : Christophe Lambert, Mario Van Peebles, Deborah Kara Unger, Mako |
Note artistique |
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► Le synopsis :
De 1587 à 1995, les temps changent mais Connor McLeod reste immortel. Pourtant, lassé de voir mourir les siens, il aspire à une vie plus calme et adopte un enfant pour tenter de vivre une impossible paternité. Mais des archéologues délivrent Kane, un immortel Magicien voué au mal, enterré dans la grotte légendaire de Niri depuis 400 ans...
► Le film :
Si le second film avait pris tout le monde à contre-pied, ce troisième opus s'apparente quant à lui à un remake déguisé et low cost du premier métrage. Le développement des personnages comme l'agencement des évènements (l'introduction des flashbacks, l'enlèvement d'un être cher) sont ainsi proches de l'original, tout comme l'ambiance (la scène en écosse est une reprise quasi copié-collé de celle avec Ramirez). Le résultat est pourtant franchement moins bon, la faute à une réalisation assez plate et à un Mario Van Peebles trop excessif. Il s'agit donc de la suite la plus proche du mythique premier volet mais aussi la plus quelconque.
► Le Blu-ray Disc :
Vidéo |
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Sous-titres |
1920x1080 / 24p - Encodage AVC Format 2.35
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DTS-HD Master Audio 5.1 : Anglais, Allemand
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Allemand
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• Image : À peine mieux qu'un vulgaire DVD avec une netteté très légèrement supérieure et des détails un peu plus satisfaisants, mais qui restent bien trop faibles pour un Blu-ray avec un aspect doux ou légèrement flou selon les plans. Le master n'a de plus pas été nettoyé (de nombreuses saletés avec des points et lignes parasites) et abuse d'edge enhancement, les couleurs ont été affreusement dénaturées pour paraître plus saturées, les contrastes ont été boostés pour un rendu dégueulasse et la gestion des noirs est catastrophique.
• Son : Les dialogues se détachent bien (de petites saturations parfois), la séparation stéréo à l'avant est solide et le score (l'apparition de la sublime chanson "Bonny Portmore" de Loreena McKennitt) bien enveloppant. Mais les effets balancés sur les surrounds, même si prononcés, sont trop imprécis pour que l'on soit correctement immergé dans l'ambiance.
Région |
Éditeur |
Date de sortie
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B (Allemagne) |
Concorde Home Entertainment
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12 janvier 2012 |