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Nationalité : Américain
Genre : Aventure, Action
Année : 2001
Durée : 92 min
Réalisateur : Joe Johnston
Acteurs : Sam Neill, William H. Macy, Téa Leoni, Alessandro Nivola, Trevor Morgan, Michael Jeter
Compositeurs : Don Davis, John Williams
Provenance : France
Éditeur : Universal Pictures
Date de sortie : 22 mai 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 1.85 - 4K DI
Bande-son : Anglais DTS:X (core DTS-HD MA 7.1), Français DTS 5.1
Sous-titres : Anglais, Français
Le professeur Alan Grant, rescapé de Jurassic park 8 ans auparavant, se retrouve malgré lui embarqué par un couple de soi-disant milliardaires, les Kirby, à explorer l’île d’Isla Sorna pour leur faire découvrir les dinosaures qui y vivent en liberté. Ce couple assure qu’ils ont toutes les autorisations pour survoler l’île, mais les choses se compliquent lorsqu’ils décident d’atterrir sans son consentement. Commence alors pour la petite expédition, une course contre la mort contre des monstres préhistoriques qui vont bien au-delà de l’imagination humaine...
Dans ce troisième volet de Jurassic Park, le scénario va à l’essentiel, c’est-à-dire la survie des protagonistes dans un monde dangereux peuplé de monstres assoiffés de sang et de chair humaine. Joe Johnston, le réalisateur, ne s’embarrasse pas de fioritures et va à l’essentiel qui est de faire de ce survival un pur divertissement sans prise de tête. Même si l’intrigue n’a rien de transcendante, on retrouve un des protagonistes importants du premier volet pour notre plus grand plaisir. En dehors de ça, le contrat action et quelques frissons sont bien remplis avec des monstres encore plus monstrueux, et une ébauche intéressante sur l’approche de l’intelligence des Raptors. Approche d’ailleurs qu’on retrouve dans la nouvelle trilogie (sûrement) Jurassic World. Un film très court mais divertissant.
(Test réalisé sur un écran 2160p non compatible HDR)
À l’image du premier volet, l’image n’est pas transcendante par rapport au Blu-ray. Quelques plans très définis ont tout de l’UHD, mais sinon on retrouve quelques nombreux défauts du Blu-ray, comme du bruit dans certains arrière-plans (et surtout sur les ciels), et des scènes sombres pas toujours débouchées. Une image correcte, mais sans plus.
(Test effectué en VO 5.1 DTS-HD Master Audio sous-titrée français)
Une piste un peu décevante, même si elle fait son boulot lors des attaques des monstres, mais ça manque quand même de peps. Quelques graves pourtant ne manquent pas de piquant lorsque les pas des dinosaures géants entrent en jeu. Il y a comme une certaine retenue sur cette piste VO cependant, c’est un peu dommage.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony UBP-X800
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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Titre original : Darkest Hour
Nationalité : Britannique, Américain
Genre : Biopic, Guerre
Année : 2017
Durée : 125 min
Réalisateur : Joe Wright
Acteurs : Gary Oldman, Kristin Scott Thomas, Lily James, Stephen Dillane, Ben Mendelsohn
Compositeur : Dario Marianelli
Provenance : France
Éditeur : Universal Pictures
Date de sortie : 15 mai 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 1.85 - 4K DI
Bande-son : Anglais Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Français Dolby Digital Plus 7.1
Sous-titres : Anglais, Français
En ce début de Seconde Guerre Mondiale, dans les années 40, le sort de l’Europe se joue après qu’Hitler et ses hordes nazies eurent envahies l’un après l’autre tous les pays du vieux continent. Seule la Grande-Bretagne est encore épargnée par cette invasion massive, mais pour combien de temps ? Dans le but de sauver le pays, Winston Churchill est nommé Premier ministre pour trouver des solutions au plus vite. Mais cette tâche va se heurter à la fois aux réalités de la guerre et du terrain, aux manques de moyens, ainsi qu’à l’hostilité d’une certaine partie des ministres de son gouvernement qui sont pour une paix négociée avec le Führer...
Ce magnifique biopic et film de guerre, vous permettra de vous immerger dans les coulisses et arcanes du pouvoir en ces temps troublés où chaque décision décide de la vie ou de la mort de personnes aux services d’une Nation. Et qui permet à un homme de se révéler, de montrer au monde que la résistance malgré des vents contraires est possible. Cet homme, c’est Winston Churchill, un « Grand Homme » comme il en existe peu par siècle, mais qui permet de mesurer l’impact de la volonté d’un seul homme pour combattre des forces obscures prêtes à détruire le monde. En montrant la dimension humaine du personnage historique, on voit les failles, les fêlures, les motivations, l’ambition qui l’habitent pour se hisser au-dessus de la masse, et ainsi prendre des décisions parfois mal vécues mais vitales pour la survie d’un pays. Winston Churchill n’était pas un saint, avait surement des côtés plus obscurs, avait un penchant pour l’alcool et les cigares sans limite, mais avait aussi une acuité intellectuelle acérée pour lui permettre de prendre les bonnes décisions. Son sens de l’humour dévastateur était aussi la preuve d’un détachement vis-à-vis de lui-même. Quant à l’interprétation du personnage de Winston Churchill par Gary Oldman, celle-ci est phénoménale, avec un naturel et une osmose incroyable entre l’acteur et le « Grand Homme ». Exceptionnel. Le reste du casting est excellent et participe à cet agréable visionnage à la fois distrayant, informatif et intellectuellement enrichissant. Du grand cinéma.
(Test réalisé sur un écran 2160p non compatible HDR)
Une image de toute beauté sans grand défaut, malgré beaucoup de scènes sombres (notamment dans les bunkers où se décidait le sort de la guerre). Luminosité, couleurs, contraste, définition, tout est parfait dans le luxe de la reconstitution et des décors.
(Test effectué en VO 5.1 Dolby TrueHD sous-titrée français)
Grâce à une très belle spatialisation lors des nombreux plans au parlement britannique, on est aux premières loges pour comprendre les enjeux qui se jouent dans le film. Les quelques scènes de guerre ne manquent pas d’ampleur aussi, et la musique se déploie sur tous les canaux. Excellente intelligibilité des dialogues.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony UBP-X800
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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Nationalité : Américain, Émirati
Genre : Thriller
Année : 2017
Durée : 110 min
Réalisateur : James Ponsoldt
Acteurs : Emma Watson, Tom Hanks, John Boyega, Ellar Coltrane, Glenne Headly, Bill Paxton, Karen Gillan
Compositeur : Danny Elfman
Provenance : France
Éditeur : TF1 Vidéo
Date de sortie : 14 novembre 2017
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.40
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Français
Mae est une jeune femme qui s’ennuie dans son boulot de standardiste chargée de répondre aux questions des clients, et qui se voit proposer un nouveau job par sa meilleure amie, dans une entreprise géante du Net, nommée « The Circle ». Cette entreprise aux multiples ramifications lui propose alors par l’intermédiaire de son patron, de vivre une expérience sans limite de connexion aux réseaux sociaux, informatiques et de communication, où plus rien de votre vie privée n’est caché au monde. Mais cette volonté de transparence fait prendre conscience à Mae que ce partage d’infos va bien au-delà du respect de l’individu et de sa sphère privée...
Si de nombreux films sur les dangers de l’Internet, de la connexion sans limite et sans filtre aux réseaux sociaux (avec parfois des conséquences tragiques) a permis de mesurer l’impact du Net dans nos vies professionnelles ou personnelles, il faut bien se rendre compte qu’on en est qu’au début d’un immense maillage de la collecte des informations nous concernant qui sont devenues la « marchandise » la plus recherchée du monde, et qui oriente toute la stratégie des entreprises de tous les secteurs, mais aussi des États pour nous rendre toujours plus dépendant. Si ce film n’apporte rien de nouveau au débat, son approche fait quand même froid dans le dos, où plus aucun filtre ne serait appliqué pour protéger notre vie privée. Si je reconnais les bienfaits de l’Internet, reconnaissons qu’il faut garder parfois ses distances avec le traitement qui peut être fait de nos données personnelles, qui si elles paraissent innocentes ou quelconques peuvent toujours être utilisées par des personnes qui n’ont pas la même lecture de ces données. À la fois d’une approche clinique, cynique et sans concession, ce film peut nous permettre de rester en alerte, afin de ne pas tomber dans un phénomène de masse presque sectaire où tout le monde dissèque votre vie sans que vous puissiez la maîtriser complètement. Toute ressemblance avec Les GAFA, les États connectés qui dirigent une partie de notre vie dans ce film serait-elle une pure coïncidence ? La réponse est dans la question (lol). Pour ce qui concerne le casting, Emma Watson m’a paru un peu légère pour soutenir ce thriller d’anticipation bien que son interprétation soit correcte en passant d’une jeune femme naïve à une jeune femme manipulatrice des réseaux sociaux. Quant à Tom Hanks avec son air bonhomme, il est plutôt étonnant en gourou des réseaux sociaux finalement manipulateur, intelligent et anticipant les moindres besoins et désirs de « ses clients ».
(Test réalisé sur un écran 2160p)
Belle image dans l’ensemble, peu clinquante, avec un peu de perte de définition par moment dans certains plans.
(Test effectué en VF 5.1 DTS-HD Master Audio)
Si les ambiances de foules sont bien rendues, ce genre de film ne déchaîne bien évidemment pas tous les canaux. Musique typée électro planante (pour mieux nous endormir, lol) plutôt bien fichue qui sied bien au film.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony BDP-S790
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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Nationalité : Américain, Chinois
Genre : Action, Fantastique
Année : 2018
Durée : 111 min
Réalisateur : Steven S. DeKnight
Acteurs : John Boyega, Scott Eastwood, Jing Tian, Cailee Spaeny, Rinko Kikuchi
Compositeur : Lorne Balfe
Provenance : France
Éditeur : Universal Pictures
Date de sortie : 24 juillet 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - Dolby Vision / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 12 bit - Encodage HEVC - Format 2.40 - 2K DI
Bande-son : Anglais Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Français Dolby Digital Plus 7.1
Sous-titres : Anglais, Français
Jake Pentecost, fils d’un héros qui a gagné la première guerre contre les Kaijus, est contraint suite à divers déboires avec la justice, de reprendre le combat de son père, en intégrant une jeune équipe de pilotes de Jaegers qui reprend du service, en raison du retour sournois mais prévisible, de l’entité extra-terrestre qui fait sa deuxième phase d’attaques à travers la technologie humaine des Jaegers et la manipulation mentale pour tester les limites de résistance de l’Humanité en prévision de sa destruction...
On remet le couvert une deuxième fois donc avec cette future saga (oui, y’aura un troisième épisode, c’est écrit, lol) de Pacific Rim, où cette fois de jeunes héros un peu funs, un peu fous, un peu kamikazes reprennent du service pour dégommer du monstre « Kolossal » prêt à écraser l’Humanité et tout ce qui se trouve sur son passage. C’est encore plus délicieusement bourrin, avec un sens de la destruction massive poussant le bouchon toujours plus loin. Si le côté primaire du premier épisode est toujours là, il y a quand même peu de surprise, même si le retour un peu vicelard des extra-terrestres est plutôt bien vu. Entre un mix de Transformers, de Godzilla et de tous les films de destructions massives qui ont pu exister, on passe plutôt un bon moment de « décérébrage » de cerveau. Intellectuels, prière de s’abstenir (lol). Le casting jeune donne un petit coup de fouet au film, et les traditionnels boy-scouts sont là pour donner une bonne dose de testostérone.
(Test réalisé sur un écran 2160p non compatible HDR)
Dans l’ensemble, on a une fantastique image sous les yeux, avec des couleurs pétantes, une définition supérieure et des effets spéciaux particulièrement impressionnants. Seules quelques scènes avec du bruit résiduel en arrière-plan viennent contrarier cette très belle image. Dommage que le film n’ait pas été présenté dans le format 1.78 comme le 1er volet (sur le BD UHD).
(Test effectué en VO 5.1 Dolby TrueHD sous-titrée français)
Cette piste est faite pour tous les mélomanes qui se respectent. Je plaisante bien sûr (lol). On a affaire a du massif comme les protagonistes robots ou monstres du film, et pour ça on est servi. Les canaux sont tous très sollicités, le caisson se défoule souvent, mais les dialogues sont quand même parfaitement clairs dans cette débauche de destructions. Peu subtil, mais très fun.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony UBP-X800
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou
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Nationalité : Américain
Genre : Concert jazz, pop, blues
Année : 2018
Durée : 116 min
Réalisateur : Nick Wickman
Formation : Norah Jones (Vocal, Piano), Brian Blade (Drums), Christopher Thomas (Guitare, Contrebasse)
Compositeur : Norah Jones
Provenance : France
Éditeur : Eagle Vision
Date de sortie : 15 juin 2018
Format vidéo : 1920x1080 / 50i - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.40
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.0, Anglais PCM 2.0
Sous-titres : Anglais, Français
Norah Jones est une artiste que je suis depuis son premier album, Come Away with Me, et à travers ses albums, elle a toujours apporté ce petit plus qui fait qu’on aime un(e) artiste. Dans un club de jazz new-yorkais, le Ronnie Scott’s, elle nous propose une approche intimiste de son œuvre, de quelques grands titres qui ont jalonné sa carrière à d’autres moins connus mais tout aussi agréable à écouter et à savourer sans modération...
Norah Jones, outre le fait d’être une très jolie femme, apporte ce petit supplément d’âme à toutes ses interprétations, dans un style cool, décontracté, mais très pro, avec une qualité musicale sans faille. Accompagnée de deux acolytes à l’interprétation toute en nuance, Norah Jones étant par ailleurs une magnifique joueuse de piano, les morceaux jazzy, blues et parfois plus pop s’enchainent pour un plaisir auditif parfait. Laissez-vous bercer par cette belle voix si caractéristique, vous ne serez pas déçus.
(Test réalisé sur un écran 2160p)
Captation d’excellente qualité, bien qu’un peu bruitée. La salle très intimiste et très petite sied parfaitement à l’ambiance club.
(Test effectué en VO 5.1 DTS-HD Master Audio)
Excellente captation audio, rendant hommage à la proximité de l’artiste, au filé du piano de Norah, à une batterie percutante et subtile, et à une contrebasse et guitare amples. Belle ambiance de la salle, belle spatialisation et puissance confortable pour être aux premières loges.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Yamaha BDP-S1067
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
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Rédacteur
jedi poodou