-
Titre original : Rampage
Nationalité : Américain
Genre : Science-fiction, Action, Catastrophe
Année : 2018
Durée : 108 min
Réalisateur : Brad Peyton
Acteurs : Dwayne Johnson, Naomie Harris, Malin Akerman, Jeffrey Dean Morgan, Jake Lacy
Compositeur : Andrew Lockington
Provenance : France
Éditeur : Warner Bros.
Date de sortie : 12 septembre 2018
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.39
Bande-son : Anglais Dolby Atmos (core Dolby Digital Plus 7.1), Français Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Anglais et Français DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Optoma HD141X Source : Sony BDP-S7200
Amplification : Yamaha MusicCast RX-A860, BC Acoustique EX-502 Enceintes : Dali Zensor 3, Spektor 2; Focal Sib; Klipsch R-110SW (7.2.2)
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Rédacteur
RoRo 25
-
Titre original : You Were Never Really Here
Nationalité : Britannique, Français, Américain
Genre : Thriller, Drame
Année : 2017
Durée : 89 min
Réalisateur : Lynne Ramsay
Acteurs : Joaquin Phoenix, Ekaterina Samsonov, John Doman, Judith Roberts, Alessandro Nivola
Compositeur : Jonny Greenwood
Provenance : France
Éditeur : M6 Vidéo
Date de sortie : 05 septembre 2018
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.35
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1 (et 2.0), Français DTS-HD MA 5.1 (et 2.0)
Sous-titres : Français, Français pour malentendants
La fille d’un sénateur disparaît. Joe, un vétéran brutal et torturé, se lance à sa recherche. Confronté à un déferlement de vengeance et de corruption, il est entraîné malgré lui dans une spirale de violence...
Avis du loup celeste
Brillamment interprété et filmé, ce Taxi Driver (trop) arty et quelque peu expérimental est un thriller (très) noir profondément torturé et contemplatif, où la violence et le laconisme s'imposent comme le moteur d'une histoire simple mais hypnotique qui tend à noyer le spectateur dans un univers où la perversion s'est faite Reine. Âpre et peu aimable, A Beautiful Day est un film difficile d'accès qui n'a vraiment pas pour vocation de plaire à tout le monde.
Avis de WolfWife
Soporifique et dépressif, cet horrible thriller ne raconte rien.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image SDR ISF Expert pièce sombre)
Un transfert HD grandement maîtrisé à la définition impeccable, au piqué pointilleux (cf. la précision des visages ou de la barbe de Joaquin Phoenix), à la colorimétrie naturelle bien pleine, aux contrastes remarquables et aux noirs fermes. De ce fait, la photographie crue et élégante de Thomas Townend est capturée avec soin pour de belles images qui sortent des sentiers battus.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 avec post-traitement DTS Neural:X pour la VO et la VF)
Le montage sonore, personnage à part entière qui apporte énormément à l'œuvre pour appuyer les cassures de rythme et ajouter à la souffrance mental de son « héros » mutique, est aussi subtil qu'expressif. Le score obsédant et malaisant s'impose régulièrement avec force, les ambiances urbaines (volontairement assourdissantes parfois) sont diffusées avec une présence incroyable et la dynamique est particulièrement inattendue. Et pour un peu plus d'ampleur, c'est vers la VO qu'il faudra se tourner même si la VF reste de haut vol.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Rédacteurs
le loup celeste & WolfWife
-
Nationalité : Américain
Genre : Science-fiction, Aventure, Action
Année : 2018
Durée : 140 min
Réalisateur : Steven Spielberg
Acteurs : Tye Sheridan, Olivia Cooke, Ben Mendelsohn, T. J. Miller, Simon Pegg, Mark Rylance
Compositeur : Alan Silvestri
Provenance : France
Éditeur : Warner Bros.
Date de sortie : 08 août 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - Dolby Vision / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 12 bit - Encodage HEVC - Format 2.39 - 2K DI
Luminance HDR : Adaptée aux caractéristiques techniques spécifiques du dispositif d'affichage utilisé
Bande-son : Anglais et Français Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Anglais et Français DTS-HD MA 5.1, Anglais Audiodescription
Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants
2045. Le monde est au bord du chaos. Les êtres humains se réfugient dans l’OASIS, univers virtuel mis au point par le brillant et excentrique James Halliday. Avant de disparaître, celui-ci a décidé de léguer son immense fortune à quiconque découvrira l’œuf de Pâques numérique qu’il a pris soin de dissimuler dans l’OASIS. L’appât du gain provoque une compétition planétaire. Mais lorsqu’un jeune garçon, Wade Watts, qui n’a pourtant pas le profil d’un héros, décide de participer à la chasse au trésor, il est plongé dans un monde parallèle à la fois mystérieux et inquiétant...
Avis du loup celeste
Un spectacle geek jouissif au possible à la mise en scène virtuose, à l'imaginaire foisonnant, aux références (plus ou moins cachées) multiples, au scénario visionnaire, aux acteurs charismatiques, aux scènes d'action ébouriffantes et aux effets spéciaux novateurs. Ready Player One c'est donc de la science-fiction rétro-moderne réjouissante et ultra-généreuse qui rend un vibrant hommage à la pop culture. Du très (très) grand art !
Avis de WolfWife
Un divertissement contemporain made in Spielberg qui nous plonge dans un univers virtuel au concept attrayant, au visuel riche en couleurs et à l'histoire prenante. Parfait et transcendant pour les geeks nostalgiques, mais surfait et surcoté pour les autres.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image Dolby Vision Accueil cinéma)
Taillées pour l'Ultra HD, c'est peu dire que de vous assurer que les images délivrées lors des séquences à l'intérieur de l'OASIS finiront de convaincre les plus sceptiques quant aux différences existantes avec le Blu-ray. Éteintes et fades à côté, elles sont écrasées par la splendeur toute numérique et colorée de ces nombreux passages sur le 4K Ultra HD, aidées il est vrai par la patine HDR (très présente avec ses lumières, reflets, magies et néons de partout) et l'opulence du WCG (il suffit de voir la robe rouge d'Art3mis pour s'en persuader) qui ont l'état d'esprit de ne pas être gratuitement clinquants, même s'il est vrai que le côté extrême des contrastes est encore accentué. D'une netteté réellement sidérante et arborant un niveau de détails tout simplement prodigieux, elles explosent le piqué du déjà excellent master HD. Et si les scènes se déroulant dans le monde réel ne marquent pas un écart aussi important, la « faute » à un parti pris plus tristounet (c'est gris) et cinématographique (une délicieuse couche granuleuse, des contours plutôt doux et quelques mises au point un peu floues), il y a là aussi de quoi exulter avec des éclairages (souvent diffus) plus éblouissants (la lumière du jour à travers les fenêtres), des textures mieux dessinées (les épaves de voitures), des contrastes plus expressifs et des noirs (généralement abyssaux) plus subtilement nuancés. Pour faire simple, la sublime photographie concoctée par Janusz Kaminski (A.I. Intelligence Artificielle, Minority Report, La Guerre des Mondes, Pentagon Papers et j'en passe) est magnifiée par ce transfert UHD Dolby Vision de référence.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 en mode d'écoute Dolby Atmos pour la VO et la VF)
D'une richesse acoustique proprement hallucinante, ce mixage Atmos (DTS-HD MA 5.1 non testé) qui joue à fond la carte de la bulle sonore est là pour délivrer un mémorable moment de home-cinéma. Précis et immersif (une spatialisation de folie), il diffuse des effets retentissants (cf. la course motorisée) et ambiances enveloppantes (la « vie » virtuel au sein de l'OASIS) sur toutes les enceintes mises à sa contribution. Les canaux surround sont ainsi massivement utilisés (surtout lors de la bataille finale) et la scène aérienne délivre un nombre considérable d'informations (des objets volants, des pièces à glaner, un T-Rex, King Kong, des drones, une alarme, des projectiles divers, Mechagodzilla, etc.). Et puis les dialogues sont clairs, le score d'Alan Silvestri ne cesse de s'envoler avec une ampleur décoiffante et les basses possèdent une assise importante sans pour autant prendre le dessus sur le reste. En VO comme en VF, voilà une bande-son de démonstration.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Rédacteurs
le loup celeste & WolfWife
-
Titre original : Rampage
Nationalité : Américain
Genre : Fantastique, Action
Année : 2018
Durée : 108 min
Réalisateurs : Brad Peyton
Acteurs : Dwayne Johnson, Naomie Harris, Malin Akerman, Jeffrey Dean Morgan, Jake Lacy
Compositeur : Andrew Lockington
Provenance : France
Éditeur : Warner Bros.
Date de sortie : 12 septembre 2018
Format vidéo : 3840x2160 / 24p - Dolby Vision / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 12 bit - Encodage HEVC - Format 2.39 - 2K DI
Bande-son : Anglais et Français Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Anglais et Français DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Anglais, Français
Une expérience scientifique, basée sur des manipulations génétiques sur les animaux dans une station spatiale en orbite autour de la Terre, tourne à la catastrophe lorsqu'un cobaye ayant subi une mutation aberrante détruit entièrement la station spatiale. Cependant, l’explosion de la station a propulsé des échantillons des expériences qui s’écrasent alors sur Terre, et engendre aussitôt des mutations génétiques monstrueuses sur des animaux ayant été en contact avec ces échantillons. Un singe élevé par un primatologue réputé du nom de Davis, subit une mutation qui engendre catastrophe sur catastrophe. Mais il n’est pas le seul dans ce cas, et seul Davis, une scientifique ayant participé aux recherches et un agent du gouvernement sont en mesure d’arrêter les monstres prêts à détruire tout sur leur passage ainsi que les responsables peu scrupuleux de la multinationale qui ont enclenché le processus de destruction massive...
Vous voulez que je vous fasse des tartines pour décrire ce film, êtes-vous prêt à lire les 50 lignes de textes que je vais vous pondre pour parler de ce chef-d’œuvre ? Allez, je suis magnanime, je vais vous épargner dans ma grande bonté (lol), car malheureusement, je suis au regret de vous dire qu’on n’est pas loin du nanar intégral, malgré la débauche de moyens mis en œuvre. L’histoire en elle-même aurait pu être sympa, mais le réalisateur, le ou les scénaristes et les acteurs, ont tous chaussés leurs gros sabots pour accoucher d’un blockbuster décérébré jusqu’à l’overdose. Dwayne Johnson a beau joué encore les sauveurs du monde dans ce film, il ne le sauve pas du naufrage. D'ailleurs, Dwayne Johnson devient presque un genre cinématographique à lui tout seul à force de se démultiplier dans toutes les grosses productions américaines, à l’instar d’acteurs comme Nicolas Cage (les fameux « Nicolas Cage movies »). Si j’aime bien cet acteur, là il va falloir qu’il arrête de gonfler ses biscotos, parce qu’il va bientôt exploser à force d’overdose à la testostérone et à l’adrénaline. Ah bien sûr, vous serez servis par des scènes d’action maousses, mais à part ça, c’est humour poussif, dialogues limite débiles et destructions à la chaîne qui vous attendent. Seul Jeffrey Dean Morgan en agent du gouvernement décontracté du bulbe, a l’air de s’amuser dans ce film, et c’est bien lui le personnage le plus sympathique. Quant aux effets spéciaux, on alterne le bon (le singe géant albinos) ou le pire avec un loup géant affreux de laideur numérique et un alligator géant qui ressemble à un porc-épic fusionné avec un phacochère. Visuellement ce film est une démo technique, mais pour le reste, vous serez les seuls juges si l’envie vous prenait de regarder ce film. Mon indulgence sur ma note tient compte de la qualité technique.
(Test réalisé sur un écran 2160p non compatible HDR)
L’image est fantastique de précision. La définition est idyllique, les couleurs sont parfaitement saturées et les contrastes sont en béton. Même les scènes sombres sont particulièrement bien gérées. Une démo technique qui ne peut malheureusement pas compenser la laideur parfois embarrassante de certains effets spéciaux.
(Test effectué en VF 5.1 Dolby TrueHD)
Vous voulez du lourd, du massif, du costaud, eh bien vous allez être servis par cette bande-son aussi délicate que les monstres du film qui détruisent tout sur leur passage. Activité multicanale, graves qui envoient, ça n’arrête pas. Dialogues parfaitement clairs malgré la débauche de décibels.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : Samsung UE65HU7500 Source : Sony UBP-X800
Amplification : Yamaha RX-A3020 Enceintes : Pioneer S-C80, S-H810V, S-F80, S-W250 (5.1)
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Rédacteur
jedi poodou
-
Nationalité : Américain
Genre : Polar, Thriller
Année : 2017
Durée : 98 min
Réalisateur : Johnny Martin
Acteurs : Al Pacino, Karl Urban, Brittany Snow, Joe Anderson, Sarah Shahi
Compositeur : Frederik Wiedmann
Provenance : France
Éditeur : AB Vidéo
Date de sortie : 05 septembre 2018
Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.39
Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1 (et 2.0), Français DTS-HD MA 5.1 (et 2.0)
Sous-titres : Français imposés sur la VO
Un meurtrier terrorise la ville avec une version macabre du jeu du « Pendu ». L’inspecteur Will Ruiney doit faire équipe avec son ancien partenaire et une journaliste afin d’enquêter sur cette série de meurtres qui semblent les toucher personnellement. Une course contre la montre commence...
Dans la veine de Seven même si plus générique (la mise en scène est beaucoup plus quelconque), ce polar/thriller nihiliste où un tueur en série psychopathe joue au « Pendu » avec deux flics, l'un d'active et l'autre à la retraite, est un bon suspense guidé par une enquête (plutôt un jeu de piste) haletante et porté par des acteurs de talent (Al Pacino en tête). S'il y a assurément mieux dans le genre, il y a aussi largement pire.
(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode image SDR ISF Expert pièce sombre)
Préservant les détails en toutes circonstances, même les plus ardues (cf. les scènes plongées dans l'obscurité), ce transfert HD délivre une définition en béton, un piqué acéré, des couleurs aux teintes souvent bleutées élégantes et des contrastes toujours bien gérés. Mais voilà, la compression est loin d'être inattaquable et il n'est donc pas rare que certains plans soient gangrenés par du colour banding.
(Condition de test : Config 7.1.4 sur ampli HC 11.2 avec post-traitement DTS Neural:X pour la VO et la VF)
En totale adéquation avec le propos de l’œuvre, le mixage audio use de l'ensemble des canaux qui lui sont alloués pour faire naître l'anxiété chez le spectateur. Et pour ce faire, il distille des effets/ambiances dans toute la scène sonore (la pluie va inonder votre pièce d'écoute), s'imprègne de basses pesantes lors des scènes de crime et libère des dialogues d'une parfaite clarté. Quant à savoir s'il faut privilégier la VO ou la VF, je ne saurais que trop vous conseiller de lancer la VO. Car malgré un bon doublage, la VF n'est pas en mesure de capter l'authenticité des voix originales.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Matériel de test
Diffuseur vidéo : LG OLED55C8 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Chorus CC700V, Chorus 716V, Chorus 706V, Chorus B8V W, Sub 300P; Klipsch RP-140SA (7.1.4)
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Rédacteur
le loup celeste